Song: A serbian Film Le Contrat
Artist:  Iguan
Year: 2013
Viewed: 20 - Published at: a year ago

Hardeur à la retraite, des rev'nus tell'ment modestes
Que l' crédit d' la maisonnette, c'est parti pour la perpète
Le moral dans les chaussettes, prêt à tout pour faire recette
À balancer sa rocket, dans n'importe quelle chatte ouverte

La solution est offerte, une proposition discrète
Leylah connait un plan sexe, un contrat pour une bite raide
Ça tombe très bien car Milos, a une batte en guise de sgeg
Il prendrait tout sauf des gosses, pour lui les femmes sont des steaks

Une main sur la hanche, l'autre sur une fesse
Voilà comment il respecte, toutes ces actrices qu'il baise
Pendant que son frère déstresse, en se branlant vite aif
En pensant à cette fille d' rêve, qu'il ne peut pas bouyave

La bave sur ses lèvres, il attend caché dans l'ombre
Tout comme le faisait Jack, dans les rues noires de Londres
L'attente ne sera pas longue, une heure et quelques de film
Mais rev'nons à nos moutons, tout est encore paisible

Vie d' famille plutôt banal, pour la Serbie c'est d' la balle
Dans un pays qui va mal, on se sert quand y a d' la maille
Signature avec le diable, quand sur terre on a que dalle
Le contrat est sur la table, Milos lis pas les p'tites phrases
Ignorant tout du tournage, il découvrira en live
Le tournant que ça prendra, la destruction de sa life
Personne n'en sortira sauf, de dingos la vrai assoc
Pas celle qui fait des clips softs, là c'est de la sale sauce

Ça ne danse pas la salsa, pour les sociopathes ça l' fait
Ici tu vois un sale gars, entrain de se faire pomper
Par un bébé à peine là, cordon encore accroché
VII à l'air d'une douce brebis, des nichons sur ses crochets

Qui pourrait donc reprocher, à l'humain d'être animal
De briser toutes tes dents, d'aller jusqu'aux amygdales
Dieu et le sang s 'marient mal, pourtant, il ne dit rien
Les athées ou les croyants, tous noyés dans le même bain

Ça parle de jugement dernier, mais que fait on des victimes
Trop tentés de se venger, car les putes sont en vitrine
Je n'ai plus aucune estime, envers la folie humaine
Milos a refusé aussi, cette jeune vierge et son hymen

Le Rimmel coule à flot, hard gore poto
Dis moi qu'est ce que tu ferais, si on t' mordait le bédo
Ça c'est juste l'apéro, avant d' vraiment opérer
Ça rest'ra dans les anals comme les colons et leur merdier

Merde t'y es, la scène est inévitable
Mais qu'est ce qui se cache sous ce drap quel est ce cul irritable
On va tout droit dans l'abus, la bulle qui s'échappe du vase
Et là c'est le drame, pire qu'une bouteille de gaz
Milos explose tous ces bâtards qui trainent dans les parages
La drogue l'a rendu barge mais le réel encore plus
Perforation d'un crane avec son légendaire phallus
Pas d' retour en arrière, même pas de roulette russe

Sur cam il a découvert qu'on a pénétré son anus
Il fallait se méfier de l'infirmière en petite tenue
Celle avec l'esprit tordu, qui s'empare d'une barre de fer
Pour satisfaire ses désirs, sous l'emprise d'une mixture

Avec ça t'as la bite dure, devant une femme qu'on mutile
La torture est mentale, jusqu'à te rendre nécrophile
Ici l'enfer est palpable, il n'y a aucune limite
La couleur rouge est maitre, remplace même la pisse

Les cadavres s'empilent, c'est l' final de la pièce
Bestialité totale, quand on a rien à perdre
Ne cherchez pas la morale, quand les pinceaux s'emmêlent
Les chefs d'œuvre du diable, dépassent la raison humaine

( Iguan )
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