Jérémy
J'ai jamais su
Dire les choses comme je les pense
Dire mes plaies comme je les panse
Comme j'ai peur, c'est étrange
Assis dans le canapé
J’rêve de flouze, frime, rimes, rires
On s'imagine vivre ensemble sous les projecteurs
J'suis pas chômeur, j’prends juste mon temps
Pour un temps juste à temps
Juste attеndre j'suis très lent
Éternеl adolescent
Dans mon corps incandescent
Dans la ville quand on descend
C'est gin-tonic
On part un soir, centre-ville dans le brouillard
Dans les bars, sans galères jusqu’à trop tard
Couche-tard, trop dar
Et la peur disparaît; j’suis en paix sur les boulevards
Dans la nuit, comme en rêve
Nos silhouettes sur la grève
Les emmerdes font la trêve
On avance en courant d'air
Merde, j'crois qu'on en a perdu quelques-uns derrière
J'vois des météores sur l'horizon qui s'écrasent fort
Mort à tous ces rappeurs, hey
J'crois que les rimes c'est pas mon fort
Comme un sale opportuniste
Sur les beats j'improvise
Essayer malgré tout jusqu'à la mort
Entre rappeur et métalleux
J'hésite encore
J'aimerais dire un peu plus mais j'ai peur
Ça m’écœure, je n’en peux plus
Ne pas finir en chroniqueur
Han
C'est l'art de vivre, l'art de rue
Ça part de suite
J'entends le son qui tue
C'est Fonky pour la family en dédicace
Prendre le large
Sort de la marge
Plus gros lâche de tous les temps
Marre de partir dans tous les sens
Caprice de mon essence
Martyr concupiscent
J'ai la rime facile, hostile
Mon style aussi oscille entre amour et désespoir
C'est l'histoire des amours tendres
Nos guerres nos esclandres
Je m'exclame sans attendre
Je vous aime; cœur à prendre
Florent
On bosse sur nos softs en dilettante
J’sais plus bien ce qui nous tente
Le même endroit 28 ans d'écart
Le temps l’espace dilatent
S’écoulent en teardrop
It’s getting hard to stop
City pop or hip-hop
In another land although you’re next in line
Going the extra mile
When you don’t fit right
Still it all seems fine
Ray Thousand
Oké
Pauvre Biche & Ray 1000
Production d'un beat calibré
D’une track qui affiche des airs habiles de qualité
Alité dans le siège d'un fuselage KLM
OKLM direction Stockh-OLM
J'ai des lyrics en stock
Et je les ai pas péta, non
J’suis pas un vieux chnoque
Et j'aime pas le plagiat
J'aime pas trop les voleurs
Et je pisse dans mon fute
Car je m'envole vers la Suède et c'est la double fuite…
...en soute, un gros bagage
Et je vais faire faire l'inventaire
Pas de doute non
Comme le dit l'adage
Tu peux pas me faire taire
J'ai envie d'ouvrir les valises
Et faut que je vide mon sac
Ça fait trop longtemps que je balise
Et que je suis trop patraque
En vrac, visage blême
Et j'envisage, sans trac
De parler de mes problèmes
Et sur ma vie de tourner la page
Vivre de nouvelles phases magiques
Composer ces nouvelles phrases
Et composter le toxique au moyen du partage
Florent
On a écrit des choses ensemble
Et j’ai pas fini de lire notre histoire
On renfile les AirMax et on fait bien les lacets
C’est la route qu’on se trace
Dans le sable un passage
Et si chaque instant s’efface
Ray Thousand
Moi ça me va tant que parfois je vois vos faces pour...
Continuer à fabriquer des souvenirs
Conspuer, faire abdiquer les soupirs
Éradiquer cette putain de flemme que j'ai tout le temps d'écrire
Pour vous dire “vous ravivez la flamme qu’il me faut pour vivre”
Comme la pauvre biche, l'ivrogne qui la renverse
J'ai des rimes qui t’aguichent mais en terme de confiance y'a pers’
Energie sous le postiche, les neurones qui conversent
Je me pose plus de questions qu'un champion prend par Julien Lepers
Une, deux, respire, tu sais que ça pourrait être pire
Trois, quatre, et deviens ce que t'aspires à devenir
Dur de tenir la cadence, ça ressemble à de la maintenance
Au fur à mesure ta vie commence à avoir plus de contenance
Alors prends-toi en main pour sortir du cercle vicieux Ouvre les yeux, c’est mieux, pour avancer vers ce que tu veux
Casser les sales habitudes, c'est rude, mais dude, t’éludes
Étudie-toi un peu pour te libérer de ta lassitude
J'ai jamais su
Dire les choses comme je les pense
Dire mes plaies comme je les panse
Comme j'ai peur, c'est étrange
Assis dans le canapé
J’rêve de flouze, frime, rimes, rires
On s'imagine vivre ensemble sous les projecteurs
J'suis pas chômeur, j’prends juste mon temps
Pour un temps juste à temps
Juste attеndre j'suis très lent
Éternеl adolescent
Dans mon corps incandescent
Dans la ville quand on descend
C'est gin-tonic
On part un soir, centre-ville dans le brouillard
Dans les bars, sans galères jusqu’à trop tard
Couche-tard, trop dar
Et la peur disparaît; j’suis en paix sur les boulevards
Dans la nuit, comme en rêve
Nos silhouettes sur la grève
Les emmerdes font la trêve
On avance en courant d'air
Merde, j'crois qu'on en a perdu quelques-uns derrière
J'vois des météores sur l'horizon qui s'écrasent fort
Mort à tous ces rappeurs, hey
J'crois que les rimes c'est pas mon fort
Comme un sale opportuniste
Sur les beats j'improvise
Essayer malgré tout jusqu'à la mort
Entre rappeur et métalleux
J'hésite encore
J'aimerais dire un peu plus mais j'ai peur
Ça m’écœure, je n’en peux plus
Ne pas finir en chroniqueur
Han
C'est l'art de vivre, l'art de rue
Ça part de suite
J'entends le son qui tue
C'est Fonky pour la family en dédicace
Prendre le large
Sort de la marge
Plus gros lâche de tous les temps
Marre de partir dans tous les sens
Caprice de mon essence
Martyr concupiscent
J'ai la rime facile, hostile
Mon style aussi oscille entre amour et désespoir
C'est l'histoire des amours tendres
Nos guerres nos esclandres
Je m'exclame sans attendre
Je vous aime; cœur à prendre
Florent
On bosse sur nos softs en dilettante
J’sais plus bien ce qui nous tente
Le même endroit 28 ans d'écart
Le temps l’espace dilatent
S’écoulent en teardrop
It’s getting hard to stop
City pop or hip-hop
In another land although you’re next in line
Going the extra mile
When you don’t fit right
Still it all seems fine
Ray Thousand
Oké
Pauvre Biche & Ray 1000
Production d'un beat calibré
D’une track qui affiche des airs habiles de qualité
Alité dans le siège d'un fuselage KLM
OKLM direction Stockh-OLM
J'ai des lyrics en stock
Et je les ai pas péta, non
J’suis pas un vieux chnoque
Et j'aime pas le plagiat
J'aime pas trop les voleurs
Et je pisse dans mon fute
Car je m'envole vers la Suède et c'est la double fuite…
...en soute, un gros bagage
Et je vais faire faire l'inventaire
Pas de doute non
Comme le dit l'adage
Tu peux pas me faire taire
J'ai envie d'ouvrir les valises
Et faut que je vide mon sac
Ça fait trop longtemps que je balise
Et que je suis trop patraque
En vrac, visage blême
Et j'envisage, sans trac
De parler de mes problèmes
Et sur ma vie de tourner la page
Vivre de nouvelles phases magiques
Composer ces nouvelles phrases
Et composter le toxique au moyen du partage
Florent
On a écrit des choses ensemble
Et j’ai pas fini de lire notre histoire
On renfile les AirMax et on fait bien les lacets
C’est la route qu’on se trace
Dans le sable un passage
Et si chaque instant s’efface
Ray Thousand
Moi ça me va tant que parfois je vois vos faces pour...
Continuer à fabriquer des souvenirs
Conspuer, faire abdiquer les soupirs
Éradiquer cette putain de flemme que j'ai tout le temps d'écrire
Pour vous dire “vous ravivez la flamme qu’il me faut pour vivre”
Comme la pauvre biche, l'ivrogne qui la renverse
J'ai des rimes qui t’aguichent mais en terme de confiance y'a pers’
Energie sous le postiche, les neurones qui conversent
Je me pose plus de questions qu'un champion prend par Julien Lepers
Une, deux, respire, tu sais que ça pourrait être pire
Trois, quatre, et deviens ce que t'aspires à devenir
Dur de tenir la cadence, ça ressemble à de la maintenance
Au fur à mesure ta vie commence à avoir plus de contenance
Alors prends-toi en main pour sortir du cercle vicieux Ouvre les yeux, c’est mieux, pour avancer vers ce que tu veux
Casser les sales habitudes, c'est rude, mais dude, t’éludes
Étudie-toi un peu pour te libérer de ta lassitude
( Pauvre Biche )
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