"CACATOV ! Comme un cocktail Molotov, où les excréments remplacent l'essence. C'est quoi ? C'est d'la pisse, de la merde, c'est de tout frère, du jus d'poisson"
La baise, c'est trop, bastringue !
Lâchez les faubouriens
Hors des bistrots
Qu'ils crament tout pour un rien
Quand il s'exprime on dirait y glaviote
Les muses d'Hésiode sifflent qu'il n'est que ventre
II se pieute avec sеs ienchs pour bouillottes
Près du bétail qui chauffe son antrе
Bête de charrue niquée avant l'âge
Hâve et cave, pauvre en vitamines
Obscure rognure qui durant les famines
Croquait les rats et l'herbe des pâturages
PEUPLE !
Qui comme toi eut cette grâce et cette rage
PEUPLE !
Quand tu bardas la France de mille croisées d'ogives
Et des plus beaux villages ?
Ils t'ont dit triste opprobre de la terre mais mon
PEUPLE !
Ils ont fait quand devant tu tombais pour leurs guerres
Pour leurs guerres
Laissons aux bouifs
Mal blanchis leurs riottes
R'prenons not bif
Et torpillons leurs yachts
Voient-ils la beauté dans l'étable crottée ?
Dans la lenteur du C15 et du Peugeot 102 ?
Quand on vivait sans ces merdes
Ces chinoiseries qui n'arrêtent pas d'péter
Qu'on bouffait sans faire crédit
Et qu'on s'démerdait sans eux
Abonné au guignon, à la soupe d'eau au quignon
Chié dans une loge de putain ou près du trou au purin :
L'homme au manteau d'étincelles des aciéries de Saint-Denis
Ou l'homme de l'or des fétus dans l'ombre
Combien de colons et de guerriers
Dorment-ils en vos rangs avariés ?
Sève de titan
Mais coulé comme une dalle
De mortier gris-sale
Au fond du Francistan
Moi j'te parle...
Moi j'te parle !
Moi j'te parle de la France d'en bas
Jeté aux porcs comme un appât
(...) régale tous les dalleux du monde
Dans la gamelle vide toutes les fins du mois
Faut faire pisser leur panse quand tout gronde
Établir les grands règnes des têtes blondes
La Mère Patrie ne sera vraiment féconde que quand crachera la voix du chef sur les ondes
"Ce qui nous intéresse c'est l'avenir de la France, c'est son redressement"
La Mère Patrie ne sera vraiment féconde que quand crachera la voix d'un chef comme le grand Jacques sur les ondes
L'État t'fait la nique
T'met des coups d'trique sur la nuque
Casse tes yeuq et fait d'toi un eunuque
Osef ! Vive
Proudhon Pierre-Joseph !
Sous l'bonnet rouge mon crâne rasé
Sous l'gilet jaune une chemise noire
On est venu tout briser
Banques, préfectures et radars
Range ta mère ou on va l'écraser
Sous les grosses roues d'un Deutz-Fahr
Notre programme pour l'Élysée :
Un (...) la déguiser
Grans estoit, et merveilleux et laid
II avait une grande hure
Toute remplie de fraisure
Et avoit grans dens jaunes
Et un grandisme nez
Mais estoit l'plus bon des hommes
Le vilain des vieilles années
Le vilain qui turbine au grand air
Ou aux lanternes jusqu'au fond des bois ;
Force de la race, réservoir de sang pur
Qui aime comme la colique ceux qui font les lois
Par les froids pacages
Dans le Livradois
On n'aime pas les cages
Les flics, les huissiers et les hommes de Droit
(Gros PD gros, gros, gros PD va)
Des vieilles toutes cassées
Aux marmots débiles
Tous ils caillassaient
Jusqu'au bord des villes
Les commis du roi
Sous l'bonnet rouge nos crânes rasés
Sous l'gilet jaune une chemise noire
On est venu tout baiser
Banques, préfectures et radars
Range ta mère ou on va l'écraser
(Cette conne)
Sous les grosses roues d'un Deutz-Fahr
Notre programme : terroriser
L'Vieux-Port jusqu'aux Champs-Élysées
La baise, c'est trop, bastringue !
Lâchez les faubouriens
Hors des bistrots
Qu'ils crament tout pour un rien
Quand il s'exprime on dirait y glaviote
Les muses d'Hésiode sifflent qu'il n'est que ventre
II se pieute avec sеs ienchs pour bouillottes
Près du bétail qui chauffe son antrе
Bête de charrue niquée avant l'âge
Hâve et cave, pauvre en vitamines
Obscure rognure qui durant les famines
Croquait les rats et l'herbe des pâturages
PEUPLE !
Qui comme toi eut cette grâce et cette rage
PEUPLE !
Quand tu bardas la France de mille croisées d'ogives
Et des plus beaux villages ?
Ils t'ont dit triste opprobre de la terre mais mon
PEUPLE !
Ils ont fait quand devant tu tombais pour leurs guerres
Pour leurs guerres
Laissons aux bouifs
Mal blanchis leurs riottes
R'prenons not bif
Et torpillons leurs yachts
Voient-ils la beauté dans l'étable crottée ?
Dans la lenteur du C15 et du Peugeot 102 ?
Quand on vivait sans ces merdes
Ces chinoiseries qui n'arrêtent pas d'péter
Qu'on bouffait sans faire crédit
Et qu'on s'démerdait sans eux
Abonné au guignon, à la soupe d'eau au quignon
Chié dans une loge de putain ou près du trou au purin :
L'homme au manteau d'étincelles des aciéries de Saint-Denis
Ou l'homme de l'or des fétus dans l'ombre
Combien de colons et de guerriers
Dorment-ils en vos rangs avariés ?
Sève de titan
Mais coulé comme une dalle
De mortier gris-sale
Au fond du Francistan
Moi j'te parle...
Moi j'te parle !
Moi j'te parle de la France d'en bas
Jeté aux porcs comme un appât
(...) régale tous les dalleux du monde
Dans la gamelle vide toutes les fins du mois
Faut faire pisser leur panse quand tout gronde
Établir les grands règnes des têtes blondes
La Mère Patrie ne sera vraiment féconde que quand crachera la voix du chef sur les ondes
"Ce qui nous intéresse c'est l'avenir de la France, c'est son redressement"
La Mère Patrie ne sera vraiment féconde que quand crachera la voix d'un chef comme le grand Jacques sur les ondes
L'État t'fait la nique
T'met des coups d'trique sur la nuque
Casse tes yeuq et fait d'toi un eunuque
Osef ! Vive
Proudhon Pierre-Joseph !
Sous l'bonnet rouge mon crâne rasé
Sous l'gilet jaune une chemise noire
On est venu tout briser
Banques, préfectures et radars
Range ta mère ou on va l'écraser
Sous les grosses roues d'un Deutz-Fahr
Notre programme pour l'Élysée :
Un (...) la déguiser
Grans estoit, et merveilleux et laid
II avait une grande hure
Toute remplie de fraisure
Et avoit grans dens jaunes
Et un grandisme nez
Mais estoit l'plus bon des hommes
Le vilain des vieilles années
Le vilain qui turbine au grand air
Ou aux lanternes jusqu'au fond des bois ;
Force de la race, réservoir de sang pur
Qui aime comme la colique ceux qui font les lois
Par les froids pacages
Dans le Livradois
On n'aime pas les cages
Les flics, les huissiers et les hommes de Droit
(Gros PD gros, gros, gros PD va)
Des vieilles toutes cassées
Aux marmots débiles
Tous ils caillassaient
Jusqu'au bord des villes
Les commis du roi
Sous l'bonnet rouge nos crânes rasés
Sous l'gilet jaune une chemise noire
On est venu tout baiser
Banques, préfectures et radars
Range ta mère ou on va l'écraser
(Cette conne)
Sous les grosses roues d'un Deutz-Fahr
Notre programme : terroriser
L'Vieux-Port jusqu'aux Champs-Élysées
( Peste noire )
www.ChordsAZ.com