Le soleil tombe sur la ville de Chicago
Il est 20h quand il sort une garo
Marche vers sa caisse, détendu et pas paro
Sa fille d'treize piges marche à côté, impossible de penser au taro
Qu'il allait prendre, ou à la vie qui lui serait volée
Alors qu'deux heures plus tôt lui apprenait les reprises de volée
Jette sa clope, l'écrase du pied, met sa main sur la poignée
Et sе fige quand dans la vitre y a les silhouеttes des officiers
La pression monte, et la tension s'ressent
Le père d'famille dit à sa fille de partir dans l'autre sens
L'officier d'police tout à coup pris d'un coup d'sang
Met sa main sur son arme et donne des ordres sur un ton stressant
Pas de geste brusque du côté afro-américain
Il tend les mains pour les calmer et montrer qu'il a rien
Une insulte part, derrière, par un autre mec en uniforme
Raciste et rabaissant, dans l'seul but de faire réagir l'homme
C'qu'il fait, il le fixe et avance vers lui
Le regard plein de haine, mais tout de suite ralenti
Le col chopé par le flic, il sent qu'sa jambe part
Balayé, on voit que d'la peur dans son regard
Sa fille panique, tente de rejoindre son père
Un officier et son gun, lui gueule: "mains en l'air!"
L'homme à terre perd son sang-froid, se lève et frappe le flic
Prend sa fille dans ses bras et soudain entend un clic
Allongé sur le trottoir, plus de pouls c'est trop tard
Bien trop tôt pour perdre la vie, et c'est pas un polar
Ouais c'est réel, au pays du dollar
Les patrouilles prennent des vies sans en faire de cauchemar
Allongé sur le trottoir, plus de pouls c'est trop tard
Bien trop tôt pour perdre la vie, et c'est pas un polar
Ouais c'est réel, au pays du dollar
Les patrouilles prennent des vies sans en faire de cauchemar
Allongé sur le trottoir...
Et c'est pas un polar...
Les patrouilles prennent des vies sans en faire de cauchemar...
Il est 20h quand il sort une garo
Marche vers sa caisse, détendu et pas paro
Sa fille d'treize piges marche à côté, impossible de penser au taro
Qu'il allait prendre, ou à la vie qui lui serait volée
Alors qu'deux heures plus tôt lui apprenait les reprises de volée
Jette sa clope, l'écrase du pied, met sa main sur la poignée
Et sе fige quand dans la vitre y a les silhouеttes des officiers
La pression monte, et la tension s'ressent
Le père d'famille dit à sa fille de partir dans l'autre sens
L'officier d'police tout à coup pris d'un coup d'sang
Met sa main sur son arme et donne des ordres sur un ton stressant
Pas de geste brusque du côté afro-américain
Il tend les mains pour les calmer et montrer qu'il a rien
Une insulte part, derrière, par un autre mec en uniforme
Raciste et rabaissant, dans l'seul but de faire réagir l'homme
C'qu'il fait, il le fixe et avance vers lui
Le regard plein de haine, mais tout de suite ralenti
Le col chopé par le flic, il sent qu'sa jambe part
Balayé, on voit que d'la peur dans son regard
Sa fille panique, tente de rejoindre son père
Un officier et son gun, lui gueule: "mains en l'air!"
L'homme à terre perd son sang-froid, se lève et frappe le flic
Prend sa fille dans ses bras et soudain entend un clic
Allongé sur le trottoir, plus de pouls c'est trop tard
Bien trop tôt pour perdre la vie, et c'est pas un polar
Ouais c'est réel, au pays du dollar
Les patrouilles prennent des vies sans en faire de cauchemar
Allongé sur le trottoir, plus de pouls c'est trop tard
Bien trop tôt pour perdre la vie, et c'est pas un polar
Ouais c'est réel, au pays du dollar
Les patrouilles prennent des vies sans en faire de cauchemar
Allongé sur le trottoir...
Et c'est pas un polar...
Les patrouilles prennent des vies sans en faire de cauchemar...
( GUST (France) )
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