Ils nous ont mis au monde,nous ont élevés le plus dignement
Ma mère, la plus belle du monde, si je mens
Manque de dialogue, égal enfance balafrée
Obligé de pleurer sous la couette, le mot je t'aime s'est jeté par la fenêtre
Ma Men, donne-moi de l'or et je l'emmene
J'aime ma mère, ne cherche pas quand je souris, c'est devant elle
Le taf sa use, et la fatigue sa fais baisser les bras
Education fantôme, petit Casper viendra border les draps
Que Dieu me pardonne, les mots tristes où j'ai manquer de respect
Mon rêve c'est que les anges vous demande de rester
Plus de haine, moins d'amour, conclusion
Mon coeur souffre de nombreuses contusions
(Refrain)
On a grandit sans amour, on s'en fous
Depuis tout jeune, depuis toujours (depuis qu'on souffre)
On appris à s'en passer, à voir le coeur de nos amis s'embraser
(X2)
A une époque je pensais que tous mes potes étaient soudés
Qu'on avançaient jusqu'à la mort main dans la main, quitte à finir sous terre
On partageaient les coups durs, les cascades et les couscous
Si t'en touche un, tu nous touche tous
Mais j'ai capter que chacun rêve de la gloire
J'ai trois milles potes, mais c'est bizarre, j'en ai vu que trois au parloir
Même entre nous l'amour simule aciduement
Sans doute lasser du banc, l'amitié file au file du temps
Les gens savent que sans les miens, je serais malade
Je serais peut être pas là, j'aurais foutu en l'air ma Life
Si t'as plus rien à me dire O.K.,
Dédicassé aux frères, aux vrais
(Refrain)
Je connais, elles ont des bites, elles aiment les gars qui font du chiffre
Les vrais bonhommes qui fument du shit
Elles aiment les gars qui ont leur tête sur une pochette
Qui sont respectés dans la ville, qui dans la vie ont les poches pleines
Déjà lassé à dix-sept ans l'amour les a lachées
Génération crasseuse, qui aime le pèze et qui baise à la chaîne
Ecoute, si t'en connais, je veux pas qu'elles me touchent
Pétasses au passé trouble et tu te retrouves au rayon paquets de couches
Sache que l'amour, j'en veux toujours, mais j'aurais peur d'en perdre
Avis de tempête, j'ai le symdrôme du coeur en pierre
Dédicassé à mes lascars posés en couple
Pour qui sa roule, anciens voyous qui voient la vie en double
(Refrain)
Elle, c'est ma ruelle, je l'aime, je suis fous d'elle, je suis fidèle
Même si la mienne sent les poubelles
Je me sens perdu entre la rue et ses vertus
Avec une tess en couverture, décor ghetto sans verdures
Si tu l'aime pas, petit conseil, casse-toi du banc
La rue te pends, sans faire de sentiments
Pleins de malades mentales, nos fillançailles sont pas rentables
Si tu m'entends, c'est lamentable
A différents degrés, s'il faut le refaire, je le referais
A mon plus grands regrets, la rue vit en retrait
Trop infidèle, la mienne a soif de relations
Le sentiment est partagé entre la poisse et la passion
(Refrain)
Ma mère, la plus belle du monde, si je mens
Manque de dialogue, égal enfance balafrée
Obligé de pleurer sous la couette, le mot je t'aime s'est jeté par la fenêtre
Ma Men, donne-moi de l'or et je l'emmene
J'aime ma mère, ne cherche pas quand je souris, c'est devant elle
Le taf sa use, et la fatigue sa fais baisser les bras
Education fantôme, petit Casper viendra border les draps
Que Dieu me pardonne, les mots tristes où j'ai manquer de respect
Mon rêve c'est que les anges vous demande de rester
Plus de haine, moins d'amour, conclusion
Mon coeur souffre de nombreuses contusions
(Refrain)
On a grandit sans amour, on s'en fous
Depuis tout jeune, depuis toujours (depuis qu'on souffre)
On appris à s'en passer, à voir le coeur de nos amis s'embraser
(X2)
A une époque je pensais que tous mes potes étaient soudés
Qu'on avançaient jusqu'à la mort main dans la main, quitte à finir sous terre
On partageaient les coups durs, les cascades et les couscous
Si t'en touche un, tu nous touche tous
Mais j'ai capter que chacun rêve de la gloire
J'ai trois milles potes, mais c'est bizarre, j'en ai vu que trois au parloir
Même entre nous l'amour simule aciduement
Sans doute lasser du banc, l'amitié file au file du temps
Les gens savent que sans les miens, je serais malade
Je serais peut être pas là, j'aurais foutu en l'air ma Life
Si t'as plus rien à me dire O.K.,
Dédicassé aux frères, aux vrais
(Refrain)
Je connais, elles ont des bites, elles aiment les gars qui font du chiffre
Les vrais bonhommes qui fument du shit
Elles aiment les gars qui ont leur tête sur une pochette
Qui sont respectés dans la ville, qui dans la vie ont les poches pleines
Déjà lassé à dix-sept ans l'amour les a lachées
Génération crasseuse, qui aime le pèze et qui baise à la chaîne
Ecoute, si t'en connais, je veux pas qu'elles me touchent
Pétasses au passé trouble et tu te retrouves au rayon paquets de couches
Sache que l'amour, j'en veux toujours, mais j'aurais peur d'en perdre
Avis de tempête, j'ai le symdrôme du coeur en pierre
Dédicassé à mes lascars posés en couple
Pour qui sa roule, anciens voyous qui voient la vie en double
(Refrain)
Elle, c'est ma ruelle, je l'aime, je suis fous d'elle, je suis fidèle
Même si la mienne sent les poubelles
Je me sens perdu entre la rue et ses vertus
Avec une tess en couverture, décor ghetto sans verdures
Si tu l'aime pas, petit conseil, casse-toi du banc
La rue te pends, sans faire de sentiments
Pleins de malades mentales, nos fillançailles sont pas rentables
Si tu m'entends, c'est lamentable
A différents degrés, s'il faut le refaire, je le referais
A mon plus grands regrets, la rue vit en retrait
Trop infidèle, la mienne a soif de relations
Le sentiment est partagé entre la poisse et la passion
(Refrain)
( Sinik )
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