Parait qu’de trop j’l’ouvre
Parait qu’de trop j’l’ouvre, parait qu’de trop j’l’ouvre
La liberté guide le peuple sur les barricades
L’envie d’en finir vite avec cette mascarade
Loin des subterfuges, mon refuge derrière les palissades
Où actes regrettables, passés inavouables côtoient la lumière
Couleurs et coulures, douleurs et brûlures
Revoir mes ambitions à la baisse ? Espèce d’enflure
Un cercle de feu, mes yeux au milieu
En proie au désarroi on eût été, on a plus froid
Quasimodo s’est éteint au kilomètre zéro
Profil d’antihéros
On a plus l’choix
Entouré, mes absences répétées, l’exil – le mauvais rôle
On construit demain derrière la tôle
Il n’s’agit plus d’faire marche arrière
Troquer une piscine contre un bras d’mer
Eaux usées, rivière écarlate
Course à la perte, sur l’asphalte
Des deux côtés du revolver la même silhouette
Elle n’valait pas un clou, j’ai renoncé à la vie qui m’était offerte
Skinny cap, lettre ouverte
Parait qu’de trop j’l’ouvre
Tu m’cherches tu m’trouves
Derrière les palissades tant que les grands joyeux conflits d’intérêt en coulisse
Aucun complice n’y mettre jamais les pieds, tous rêvent de percer l’secret
J’veille sur mes petits comme une louve
Parait qu’de trop j’l’ouvre, parait qu’de trop j’l’ouvre
Tu m’cherches tu m’trouves
Derrière les palissades [tant que les grands joyeux ?] conflits d’intérêt en coulisse
Aucun complice n’y mettre jamais les pieds, tous rêvent de percer l’secret
J’veille sur mes petits comme une louve
Parait qu’de trop j’l’ouvre
J’prends mes partenaires à témoin : la rue n’a jamais pris soin d’nous
A genoux un feu sur la tempe, certains
Même l’idée de perdre l’essentiel prétendraient le contraire
Les jardins d’pierre sont comme la Corse, pleins d’immortels
A genoux un feu sur la tempe les masques tombent comme les p’tites tenues
Derrière les palissades
J’me contente plus des sourires de façade
Professions d’foi et autres salades
Je sais combien ton âme est crade
Petite enflure
Rempli de joie comme un film d’Hector Babenko
Un chantier
De la main gauche, j’refais la déco
A l’abri des regards, peinture fraîche
Une planque
Une place forte, une prison dorée, tu m’cherches
Les êtres humains comme des graffitis se réfugient derrière les palissades
Terminus d’un air desserte
Fat cap, lettre ouverte
Rien qu’de trop j’l’ouvre
Tu m’cherches tu m’trouves
Derrière les palissades [tant que les grands joyeux ?] conflits d’intérêt en coulisse
Aucun complice n’y mettre jamais les pieds, tous rêvent de percer l’secret
J’veille sur mes petits comme une louve
Parait qu’de trop j’l’ouvre, parait qu’de trop j’l’ouvre
Tu m’cherches tu m’trouves
Derrière les palissades [tant que les grands joyeux ?] conflits d’intérêt en coulisse
Aucun complice n’y mettre jamais les pieds, tous rêvent de percer l’secret
J’veille sur mes petits comme une louve
Parait qu’de trop j’l’ouvre
Evite de t’pencher
Au-dessus des balustrades, il y a danger ce soir j’m’évade
Dans son enceinte, en sécurité
Une courtisane derrière un paravent
Qu’ils assènent des obscénités, j’me démène
Faut-il montrer patte blanche, les codes changent
Ni orphelin ni apotre, en mon pays
Désordre psychologique
Tout réduire en cendres, comme à Pompéi
Derrière les palissades sais-tu à quel rituel j’obéis ?
Parait qu’de trop j’l’ouvre
Tu m’cherches tu m’trouves
Derrière les palissades [tant que les grands joyeux ?] conflits d’intérêt en coulisse
Aucun complice n’y mettre jamais les pieds, tous rêvent de percer l’secret
J’veille sur mes petits comme une louve
Parait qu’de trop j’l’ouvre, parait qu’de trop j’l’ouvre
Tu m’cherches tu m’trouves
Derrière les palissades [tant que les grands joyeux ?] conflits d’intérêt en coulisse
Aucun complice n’y mettre jamais les pieds, tous rêvent de percer l’secret
J’veille sur mes petits comme une louve
Parait qu’de trop j’l’ouvre
Parait qu’de trop j’l’ouvre
Parait qu’de trop j’l’ouvre, parait qu’de trop j’l’ouvre
La liberté guide le peuple sur les barricades
L’envie d’en finir vite avec cette mascarade
Loin des subterfuges, mon refuge derrière les palissades
Où actes regrettables, passés inavouables côtoient la lumière
Couleurs et coulures, douleurs et brûlures
Revoir mes ambitions à la baisse ? Espèce d’enflure
Un cercle de feu, mes yeux au milieu
En proie au désarroi on eût été, on a plus froid
Quasimodo s’est éteint au kilomètre zéro
Profil d’antihéros
On a plus l’choix
Entouré, mes absences répétées, l’exil – le mauvais rôle
On construit demain derrière la tôle
Il n’s’agit plus d’faire marche arrière
Troquer une piscine contre un bras d’mer
Eaux usées, rivière écarlate
Course à la perte, sur l’asphalte
Des deux côtés du revolver la même silhouette
Elle n’valait pas un clou, j’ai renoncé à la vie qui m’était offerte
Skinny cap, lettre ouverte
Parait qu’de trop j’l’ouvre
Tu m’cherches tu m’trouves
Derrière les palissades tant que les grands joyeux conflits d’intérêt en coulisse
Aucun complice n’y mettre jamais les pieds, tous rêvent de percer l’secret
J’veille sur mes petits comme une louve
Parait qu’de trop j’l’ouvre, parait qu’de trop j’l’ouvre
Tu m’cherches tu m’trouves
Derrière les palissades [tant que les grands joyeux ?] conflits d’intérêt en coulisse
Aucun complice n’y mettre jamais les pieds, tous rêvent de percer l’secret
J’veille sur mes petits comme une louve
Parait qu’de trop j’l’ouvre
J’prends mes partenaires à témoin : la rue n’a jamais pris soin d’nous
A genoux un feu sur la tempe, certains
Même l’idée de perdre l’essentiel prétendraient le contraire
Les jardins d’pierre sont comme la Corse, pleins d’immortels
A genoux un feu sur la tempe les masques tombent comme les p’tites tenues
Derrière les palissades
J’me contente plus des sourires de façade
Professions d’foi et autres salades
Je sais combien ton âme est crade
Petite enflure
Rempli de joie comme un film d’Hector Babenko
Un chantier
De la main gauche, j’refais la déco
A l’abri des regards, peinture fraîche
Une planque
Une place forte, une prison dorée, tu m’cherches
Les êtres humains comme des graffitis se réfugient derrière les palissades
Terminus d’un air desserte
Fat cap, lettre ouverte
Rien qu’de trop j’l’ouvre
Tu m’cherches tu m’trouves
Derrière les palissades [tant que les grands joyeux ?] conflits d’intérêt en coulisse
Aucun complice n’y mettre jamais les pieds, tous rêvent de percer l’secret
J’veille sur mes petits comme une louve
Parait qu’de trop j’l’ouvre, parait qu’de trop j’l’ouvre
Tu m’cherches tu m’trouves
Derrière les palissades [tant que les grands joyeux ?] conflits d’intérêt en coulisse
Aucun complice n’y mettre jamais les pieds, tous rêvent de percer l’secret
J’veille sur mes petits comme une louve
Parait qu’de trop j’l’ouvre
Evite de t’pencher
Au-dessus des balustrades, il y a danger ce soir j’m’évade
Dans son enceinte, en sécurité
Une courtisane derrière un paravent
Qu’ils assènent des obscénités, j’me démène
Faut-il montrer patte blanche, les codes changent
Ni orphelin ni apotre, en mon pays
Désordre psychologique
Tout réduire en cendres, comme à Pompéi
Derrière les palissades sais-tu à quel rituel j’obéis ?
Parait qu’de trop j’l’ouvre
Tu m’cherches tu m’trouves
Derrière les palissades [tant que les grands joyeux ?] conflits d’intérêt en coulisse
Aucun complice n’y mettre jamais les pieds, tous rêvent de percer l’secret
J’veille sur mes petits comme une louve
Parait qu’de trop j’l’ouvre, parait qu’de trop j’l’ouvre
Tu m’cherches tu m’trouves
Derrière les palissades [tant que les grands joyeux ?] conflits d’intérêt en coulisse
Aucun complice n’y mettre jamais les pieds, tous rêvent de percer l’secret
J’veille sur mes petits comme une louve
Parait qu’de trop j’l’ouvre
Parait qu’de trop j’l’ouvre
( La Main Gauche )
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