[Teri Moïse]
Ne lui donne pas de l'amour, et même pas de la haine
Ces choses sont réservées aux grands
Heureux toujours, une joie presque inhumaine
Un clown, un simple divertissement
Il a mal à force de garder ce sourire
Si mal, mais il ne songerait jamais à trahir
Si pénible l'invisible
Ces chaînes si seulement on les voyait
Il faudrait fuir tout loin d'ici, où il sera à jamais tutoyé
Mais il sait, mais il sait
Dis-lui qu'il est docile, un ami fidèle
S'efface et se rend tolérable
Discours assez stérile
Ce garçon éternel fera tout pour manger sous la table
Jette-lui des petites miettes de leurs miettes
On dit qu'il aime ces jeux de claquettes
Si pénible l'invisible
Ces chaînes si seulement on les voyait
Il faudrait fuir tout loin d'ici, où il sera à jamais tutoyé
Mais il sait, mais il sait
[Oxmo Puccino]
Il aurait tellement aimé souhaiter ne pas être c'qu'il aimait
Sa honte a le dessus cependant en-dessous d'la réalité
Les siècles passent et tout est resté gai
Les mêmes mots qui infestent mes textes
Ces mêmes mots infestent ce monde hideux
Il s'bat pour la p'tite tape sur la tête, la récompense
Le déshonneur recomposé chaque jour avec la même note
Le maître s'conforte, du bénéfice net
Mais l'comportement fidélisé, se lègue de père en fils
Et il est si bête, qu'il sait se vendre qu'au moins offrant
Même pauvre pauvre, il donnerait ses propres enfants
Il s'affirme comme le guide, le chef
Nous mène, sur le chemin qui nous jettera dans le vide
Comme ceux qui survivent, sont docilisés
À distance, comme on s'tue du dedans
Tout l'monde se mobilise pas
Car les soucis sont en voie d'extinction
Et non pas parce que
[Teri Moïse]
Il a mal à force de garder ce sourire
Si mal, mais il ne songerait jamais à trahir
Si pénible l'invisible
Ces chaînes si seulement on les voyait
Il faudrait fuir tout loin d'ici, où il sera à jamais tutoyé
Mais il sait, mais il sait
Ne lui donne pas de l'amour, et même pas de la haine
Ces choses sont réservées aux grands
Heureux toujours, une joie presque inhumaine
Un clown, un simple divertissement
Il a mal à force de garder ce sourire
Si mal, mais il ne songerait jamais à trahir
Si pénible l'invisible
Ces chaînes si seulement on les voyait
Il faudrait fuir tout loin d'ici, où il sera à jamais tutoyé
Mais il sait, mais il sait
Dis-lui qu'il est docile, un ami fidèle
S'efface et se rend tolérable
Discours assez stérile
Ce garçon éternel fera tout pour manger sous la table
Jette-lui des petites miettes de leurs miettes
On dit qu'il aime ces jeux de claquettes
Si pénible l'invisible
Ces chaînes si seulement on les voyait
Il faudrait fuir tout loin d'ici, où il sera à jamais tutoyé
Mais il sait, mais il sait
[Oxmo Puccino]
Il aurait tellement aimé souhaiter ne pas être c'qu'il aimait
Sa honte a le dessus cependant en-dessous d'la réalité
Les siècles passent et tout est resté gai
Les mêmes mots qui infestent mes textes
Ces mêmes mots infestent ce monde hideux
Il s'bat pour la p'tite tape sur la tête, la récompense
Le déshonneur recomposé chaque jour avec la même note
Le maître s'conforte, du bénéfice net
Mais l'comportement fidélisé, se lègue de père en fils
Et il est si bête, qu'il sait se vendre qu'au moins offrant
Même pauvre pauvre, il donnerait ses propres enfants
Il s'affirme comme le guide, le chef
Nous mène, sur le chemin qui nous jettera dans le vide
Comme ceux qui survivent, sont docilisés
À distance, comme on s'tue du dedans
Tout l'monde se mobilise pas
Car les soucis sont en voie d'extinction
Et non pas parce que
[Teri Moïse]
Il a mal à force de garder ce sourire
Si mal, mais il ne songerait jamais à trahir
Si pénible l'invisible
Ces chaînes si seulement on les voyait
Il faudrait fuir tout loin d'ici, où il sera à jamais tutoyé
Mais il sait, mais il sait
( Teri moise )
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