Couplet 1
Faudrait que j'arrête de gratter
J'fais des trous dans mon papier
J'suis pas payé, je t'avoue que j'veux m'envoler comme un papillon
Je parle peu pourtant face à ma feuille je n'fais que papoter
Seul, la nuit, je cherche des rimes qui me font palpiter
Par pitié laissez moi seul, mon état est piteux
Je n'fais que patoger donc t'facon je n'peux que t'appâter
Le sentiment d'être esseulé, je n'fais que patiner
J'contemple le paysage divin, c'que c'est épatant
A la recherche du bonheur ou plutôt d'sa définition, comme un Phénicien j'navigue à travers mes traditions
Est-ce le paraitre qui définit le bien-être
Sans impact sur notre histoire j'ai j'impression de ne pas être
Toutes ces questions sont pt'être la cause de mon insomnie, chaque réponse est une question
J'ai pas le temps de somnoler, vivre dans l'ignorance
J'sais pas si au fond ca m'allait
Car en somme nous sommes des hommes qui nous demandons où en sommes nous
Refrain
La nuit, profonde, fonds des basses de ma rime
De ma rime avec une nouvelle énigme
A chaque instant le Seigneur envoit des signes
Celui qui veut les voir, au fil du temps la vie se dessine
Couplet 2
J'contemple le ciel et ses étoiles qui s'étalent
L'obscurité de la nuit fait oublier toutes ces choses futiles
Fussent-elles utiles, j'emporterai seulement mon âme
Surement pas tous ces textes, rappés sur instrumental
Je démantèle la noirceur de mon coeur
Au coeur de ma noirceur, de la haine et la rancoeur
L'amour, enfouit dans un placard
Je doute d'être prêt d'accueillir les anges Mounkar et Nakîr
Les minutes passent, le temps défile, la rouille m'embrasse
L'avenir s'défoule
Dans la brousse de l'amitié les coups de crasse déferlent
La droiture nous fait défaut
J'me mets moi-même au défi
J'coupe pas les ficelles quand j'peux les noeux j'défais
Les gens s'défilent
La réussite déforme, on bouge difficilement nos failles malgré l'effort
J'fréquente des mondes multiples mais où que j'aille
La sincérité de l'homme est scelé dans un coffre fort
Refrain
Faudrait que j'arrête de gratter
J'fais des trous dans mon papier
J'suis pas payé, je t'avoue que j'veux m'envoler comme un papillon
Je parle peu pourtant face à ma feuille je n'fais que papoter
Seul, la nuit, je cherche des rimes qui me font palpiter
Par pitié laissez moi seul, mon état est piteux
Je n'fais que patoger donc t'facon je n'peux que t'appâter
Le sentiment d'être esseulé, je n'fais que patiner
J'contemple le paysage divin, c'que c'est épatant
A la recherche du bonheur ou plutôt d'sa définition, comme un Phénicien j'navigue à travers mes traditions
Est-ce le paraitre qui définit le bien-être
Sans impact sur notre histoire j'ai j'impression de ne pas être
Toutes ces questions sont pt'être la cause de mon insomnie, chaque réponse est une question
J'ai pas le temps de somnoler, vivre dans l'ignorance
J'sais pas si au fond ca m'allait
Car en somme nous sommes des hommes qui nous demandons où en sommes nous
Refrain
La nuit, profonde, fonds des basses de ma rime
De ma rime avec une nouvelle énigme
A chaque instant le Seigneur envoit des signes
Celui qui veut les voir, au fil du temps la vie se dessine
Couplet 2
J'contemple le ciel et ses étoiles qui s'étalent
L'obscurité de la nuit fait oublier toutes ces choses futiles
Fussent-elles utiles, j'emporterai seulement mon âme
Surement pas tous ces textes, rappés sur instrumental
Je démantèle la noirceur de mon coeur
Au coeur de ma noirceur, de la haine et la rancoeur
L'amour, enfouit dans un placard
Je doute d'être prêt d'accueillir les anges Mounkar et Nakîr
Les minutes passent, le temps défile, la rouille m'embrasse
L'avenir s'défoule
Dans la brousse de l'amitié les coups de crasse déferlent
La droiture nous fait défaut
J'me mets moi-même au défi
J'coupe pas les ficelles quand j'peux les noeux j'défais
Les gens s'défilent
La réussite déforme, on bouge difficilement nos failles malgré l'effort
J'fréquente des mondes multiples mais où que j'aille
La sincérité de l'homme est scelé dans un coffre fort
Refrain
( Mejhoul )
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