Ce soir je brûle mes peines
Une brume épaisse remplit l’Éden
Mais laisse-moi colmater mes plaies
M'asseoir et comater auprès
D'un mot sans plus savoir l'épeler
Mes maux sont durs à croire mais vrais
L'émotion dure depuis sept ans
Même en songe, plus de rire ces temps-ci
Cette fleur s'est tue, c'est ainsi
Mon cœur, je l'sais, s'éteint
Le canon caressant ma tеmpe
Mon crâne est еn maintenance
Embarqué dans la danse
Des pâles flammes que la pluie détrempe
Un briquet pour que l'esprit se rompe
Souvenir d'une femme que ma plume estompe
Jolis mirages
Effacés par le temps qui passe
Et j'oublie l'visage
De celle que j'aimais tant, j'ressasse
Une pluie d'images
Emportées par un vent de glace
Qui arrache les pages
D'un conte tellement fugace
"C'est pour la vie" mais c'était qu'une fable
Et au fond de mon coeur tu n'as laissé qu'du sable
Mais j'ai gravi les dunes de c'maudit désert
J'm'enfuis sur la lune mais le te-shi m'dessert
Ton soleil levant me manque tant
Mais seul ton crépuscule m'entend
Et j'me sens minuscule en face
Du défilé des astres en place
Dans le ciel, le soir
Je rallume un cierge, de noir
Se teintent mes cernes, à croire
Que l'enfer me cerne sans toi
J'ai compté les mois, demande-moi
Si j'ai toujours l'émoi d'antan (oui)
Si tous les jours, en moi, j't'entends (oui)
Si revoir ton minois m'tente tant (oui)
Jolis mirages
Effacés par le temps qui passe
Et j'oublie l'visage
De celle que j'aimais tant, je ressasse
Une pluie d'images
Emportées par un vent de glace
Qui arrache les pages
D'un conte tellement fugace
Une brume épaisse remplit l’Éden
Mais laisse-moi colmater mes plaies
M'asseoir et comater auprès
D'un mot sans plus savoir l'épeler
Mes maux sont durs à croire mais vrais
L'émotion dure depuis sept ans
Même en songe, plus de rire ces temps-ci
Cette fleur s'est tue, c'est ainsi
Mon cœur, je l'sais, s'éteint
Le canon caressant ma tеmpe
Mon crâne est еn maintenance
Embarqué dans la danse
Des pâles flammes que la pluie détrempe
Un briquet pour que l'esprit se rompe
Souvenir d'une femme que ma plume estompe
Jolis mirages
Effacés par le temps qui passe
Et j'oublie l'visage
De celle que j'aimais tant, j'ressasse
Une pluie d'images
Emportées par un vent de glace
Qui arrache les pages
D'un conte tellement fugace
"C'est pour la vie" mais c'était qu'une fable
Et au fond de mon coeur tu n'as laissé qu'du sable
Mais j'ai gravi les dunes de c'maudit désert
J'm'enfuis sur la lune mais le te-shi m'dessert
Ton soleil levant me manque tant
Mais seul ton crépuscule m'entend
Et j'me sens minuscule en face
Du défilé des astres en place
Dans le ciel, le soir
Je rallume un cierge, de noir
Se teintent mes cernes, à croire
Que l'enfer me cerne sans toi
J'ai compté les mois, demande-moi
Si j'ai toujours l'émoi d'antan (oui)
Si tous les jours, en moi, j't'entends (oui)
Si revoir ton minois m'tente tant (oui)
Jolis mirages
Effacés par le temps qui passe
Et j'oublie l'visage
De celle que j'aimais tant, je ressasse
Une pluie d'images
Emportées par un vent de glace
Qui arrache les pages
D'un conte tellement fugace
( Schizo Boy )
www.ChordsAZ.com