[Couplet unique]
J'aime quand ça part dans tous les sens...
Le déshonneur, c’est vendre la mèche
Ça m’intéresse pas d’gagner, si tous les autres ont mal joué
Sans faire de jug’ment d’valeurs, mais, désolé, les gens sont bêtes
Plus tu dis d’la merde, plus t’as d’chances que ta chanson pète
C’est pour ceux qui avaient pas Canal +
Ceux qui squattent au fond du bus
Écouteurs à fond, regardent la route, et cherchent leur foutu but (foutu but)
J’me demande vraimеnt si on est sur terre pour travaillеr
Est-ce qu’on avait rien à faire ? Est-ce qu’on s’ennuyait..?
J’refuse qu’on me tienne en laisse
Si ça devient mon fond de commerce
Moi, je me fiche qu’on me connaisse
Les anciens du rap j’vous remercie, c’est vous la vraie politique, c’est vous le vrai sens critique, sans filtre et sans limite
Pas guidés par les médiats, mais par la morale étique
Toi t’aimes la mort ? Allez, tire. Les années vont t’enlaidir
Laisse traîner ton fils et il aura des choses à dire
L’humain fait des immondices, pas loin d’ici, c’est chaud, ça tire
Suffit d’une chaîne YouTube pour être un personnage public
La vérité en face, les mecs au chômage se dupliquent
Et les autres, bah, ils consomment
T’fais rien d’tes journées ? Paye ton seum
Tu t’branles jusqu’à la mort, ça fait mille fois que t'essayes ton zeub
J’ai pas des belles paroles quand j’les écris avec les yeux
Mais si j’les crie avec le cœur, j’vous fais pleurer mesdames, messieurs
Surpris à parler seul et j’le faisais à haute voix
Une mémoire précise ; j’me souviens, c’était l’autre fois
J'peux pas vous mettre d'accord, j'suis même pas d'accord avec moi
La corde au cou si j’ai pas les rapports adéquats
Mais laisse parler d’abord, t’as deux oreilles, et t’as une bouche
Arrête un peu d’te plaindre, t’as deux oreillers, t’as une douche
Face à l’univers, j’ai la même taille qu’une fourmi
Et j’aime la vie quand j’vois cette vieille dame qui sourit...
Tellement que j’suis rempli d’euphorie
Elle m’a marché sur le pied, j’ai paniqué, j’ai dit « sorry »
Mémoire de Dory quand il s’agit d’me rappeler d’toi
Je t'ai présenté mes excuses, les ai servies sur un plateau
J’suis différent tu vois, toutes leurs disquettes sont bateaux
C’est trop ballot, mes propositions tombent à l’eau
Mon reflet dans l’paysage
La tête collée à la vitre
Y a c’petit qui m’dévisage
J’lui ai souri à la vie...
Maman
J'me suis perdu dans ses yeux et m'suis retrouvé dans ses mots
C’est pas ta faute, pardon, c’est moi
Avec le recul, t’as pas d’défaut
Je l'ai envoyée dans l’décor, et me suis noyé dans mes torts
Me suis dit que j'allais changer fort, et ça s’est pas fait sans effort
Si tu sens que c'est mort, c'est que c'est mort
Si elle dit que t'as tort, c’est que t'as tort
C’est elle le dictateur, c’est toi qui as le droit d’niquer son corps
C’est comme la récompense
C’est elle qui s’exprime, chez toi le sexe prime...
On en oublierait qu’on pense
Bref
J'aime quand ça part dans tous les sens...
Le déshonneur, c’est vendre la mèche
Ça m’intéresse pas d’gagner, si tous les autres ont mal joué
Sans faire de jug’ment d’valeurs, mais, désolé, les gens sont bêtes
Plus tu dis d’la merde, plus t’as d’chances que ta chanson pète
C’est pour ceux qui avaient pas Canal +
Ceux qui squattent au fond du bus
Écouteurs à fond, regardent la route, et cherchent leur foutu but (foutu but)
J’me demande vraimеnt si on est sur terre pour travaillеr
Est-ce qu’on avait rien à faire ? Est-ce qu’on s’ennuyait..?
J’refuse qu’on me tienne en laisse
Si ça devient mon fond de commerce
Moi, je me fiche qu’on me connaisse
Les anciens du rap j’vous remercie, c’est vous la vraie politique, c’est vous le vrai sens critique, sans filtre et sans limite
Pas guidés par les médiats, mais par la morale étique
Toi t’aimes la mort ? Allez, tire. Les années vont t’enlaidir
Laisse traîner ton fils et il aura des choses à dire
L’humain fait des immondices, pas loin d’ici, c’est chaud, ça tire
Suffit d’une chaîne YouTube pour être un personnage public
La vérité en face, les mecs au chômage se dupliquent
Et les autres, bah, ils consomment
T’fais rien d’tes journées ? Paye ton seum
Tu t’branles jusqu’à la mort, ça fait mille fois que t'essayes ton zeub
J’ai pas des belles paroles quand j’les écris avec les yeux
Mais si j’les crie avec le cœur, j’vous fais pleurer mesdames, messieurs
Surpris à parler seul et j’le faisais à haute voix
Une mémoire précise ; j’me souviens, c’était l’autre fois
J'peux pas vous mettre d'accord, j'suis même pas d'accord avec moi
La corde au cou si j’ai pas les rapports adéquats
Mais laisse parler d’abord, t’as deux oreilles, et t’as une bouche
Arrête un peu d’te plaindre, t’as deux oreillers, t’as une douche
Face à l’univers, j’ai la même taille qu’une fourmi
Et j’aime la vie quand j’vois cette vieille dame qui sourit...
Tellement que j’suis rempli d’euphorie
Elle m’a marché sur le pied, j’ai paniqué, j’ai dit « sorry »
Mémoire de Dory quand il s’agit d’me rappeler d’toi
Je t'ai présenté mes excuses, les ai servies sur un plateau
J’suis différent tu vois, toutes leurs disquettes sont bateaux
C’est trop ballot, mes propositions tombent à l’eau
Mon reflet dans l’paysage
La tête collée à la vitre
Y a c’petit qui m’dévisage
J’lui ai souri à la vie...
Maman
J'me suis perdu dans ses yeux et m'suis retrouvé dans ses mots
C’est pas ta faute, pardon, c’est moi
Avec le recul, t’as pas d’défaut
Je l'ai envoyée dans l’décor, et me suis noyé dans mes torts
Me suis dit que j'allais changer fort, et ça s’est pas fait sans effort
Si tu sens que c'est mort, c'est que c'est mort
Si elle dit que t'as tort, c’est que t'as tort
C’est elle le dictateur, c’est toi qui as le droit d’niquer son corps
C’est comme la récompense
C’est elle qui s’exprime, chez toi le sexe prime...
On en oublierait qu’on pense
Bref
( Saft Genius )
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