L’amour meurt
Comme meurent les fleurs
L’amour ment
Comme mentent les gens
L’amour va
Comme vont les rivières
On n’ sait pas
On ne sait rien sur terre
Terrible... Terrible...
Crois-moi... Cette fille !
Je réinventais la vie morte de ces sociétés horribles et banalisées...
La nuit surtout
La nuit c’est pas mal et ça force et ça gît
C’est toujours quelque part еntre peau et jactancе
J’allais la nuit des fois dans l’Autre imaginé...
Super vieux ! Super !
Et des fois ça n’était qu’imagé bien sûr
Avec ma flamme tout autour qui l’enroulait
Et les parfums et les diadèmes
Tout casqué le vison triangle comme une Dame de la Haute
Et l’orage qui s’en vient
Ou en écorce vive ou en écorchée vide
Sous la peau qui tremblait de vigilance
Et puis de sympathie et puis de peur étymologue
La vraie peur quoi ! Terrible... Terrible...
L’amour meurt...
La nuit des fois j’allais surprendre l’Autre dans des
Cafés profonds déserts
Sentant un peu la mer quand elle ne sent pas trop
Comme les femmes qui sentent tout juste ce qu’il faut
Et qui montent vers vous
Comme un outrage au macadam
Sur lequel tu posais tes problèmes et ta pisse
Comme une oraison tiède au caprice du vent
Des fois que tu serais le dernier à fouler
Ce mac ce mac ce mac... ce macadam tiens !
Ah ! Là ! Là ! L’amour ça ne peut pas s’expliquer non ?
La nuit des fois j’allais surprendre l’Autre dans la Rue Saint-Denis
Un très long time ago très long très long
Et cherchais chaque fois la même boutique transbahuté
Par le désir et puis l’en-soi de la vergogne mal lotie
Cette boutique à vue de nez et à la mordre aussi
À m’y laisser morfondre et puis couler comme
Un sous-mar dans ses eaux tristes
Cette pute... Et des fois c’était beau et sinistre
Elle s’écartait juste le temps de l’encarter
L’amour meurt...
Et plouf ! Et plouf ! Dans le minet dans le pire
Et dans le glacé
Dans le glacé sublime et qui glaçait ma lèvre
Il n’était de glacé que certaines gosses tout allumées
Et toutes décharnées et toutes berlingotes
Avec le pire au bord des fentes
Par le besoin et par le flouze du chose
Et c’était bien là le malentendu
Divin bizarre comme une châtaigne éventrée
À l’automne
Et puis ce qu’il y avait autour de la lugubre envie
Viens viens viens viens vers moi
Et pour moi et dans moi
Et pour toi
Je t’ai je t’ai je t’ai quoique quoique
Tu m’as tu m’as tu m’as Tu crois ? Viens viens viens
Que je te fasse venir Que je te fasse venir
L’amour meurt...
Et elle m’énervait celle-là qui disait Viens
Au grand chahut quand ça va fondre
Tourne donne et puis flanche Pars brise tape et fuis
Et puis ce n’est pas moi qui lui avais appris à dire Viens viens
Les mots des autres ça me dérange quand ils sont invalides
Tourne donne et puis flanche et puis fuis fuis
Mon Amour tu sais fuir... Comme un tuyau de l’entre rêve
Ça fait un de ces bruits dans mon Imaginaire
À t’en donner pour ton argent
Pour ton Spectacle à cette Éternité seconde
Qui n’avait rien pourtant de relatif
Le lavabo d’hier
Et celui de demain et ceux de dans dix siècles
Qu’est-ce que je pouvais m’imaginer les lavabos particuliers
De ces souris visqueuses
Ah! Là! Là! Cette fille vieux!
Super... Génial... Terrible...
L’amour meurt...
Dans ta boutique je mets à la voile au jardin
Au bordel adoré de tes yeux en boutique
Dans ta conscience je coule comme un hasard superbe
Et riche dans cette rue passante
Ah ! prends-en donc de mon moi du profond
Comme dans le Pacifique
Là où les mecs ne peuvent pas sous-mariner
Dans ma boutique des poissons abstraits
Avec les baleines bleues tu connais ?
Et les filles elles sont pas bleues crois-moi
Et puis elles ne causent pas à 4 000 bornes de distance
Elles causent avec leur transistor à ailettes
Des fois qu’elles pourraient s’envoler...
Et celle-là Sébasto en 36 qu’était pas bleue non
Qui était noire en dessous avec cette plage entre le haut
Du bas noir aussi et son delta noir encore
Comme les sourires mouillés d’Harlem
En Afrique USA
Terrible vieux terrible...
L’amour meurt
Comme meurent les fleurs
L’amour ment comme mentent les gens
L’amour va
Comme va la lumière
On n’ sait pas
On ne sait rien sur terre
La lumière
Ma lumière
Ta lumière
Elle ne vient pas de l’édéèfe
Elle ne vient pas de la wonder
Ni des étoiles
Oui peut-être un peu de ces étoiles qui nous arrivent avec un retard de grève et d’insouciance qui me les fait amies et fraternelles pourquoi pas ?
Ma lumière de toi que j’ai dans moi
Que tu as dans toi
Te lave pas t’es pure assez
Je vous envoie tout mon passé
Tu sais je pense à tout à toi à tes dessous de foudre
Et de l’attente qui te les fait brillants
Polis
Sûrs de moi
Je t’aime
J’imagine quand tu n’es que perdue pour un temps
Ce temps qui nous soumet à la parure
Aux désordres des autres
À l’Anarchie et à l’Amour aussi
Je t’arrime à moi comme un navire fatigué de ces gros temps
Et d’Atlantique enfin... Il y en a marre de cet Océan de rêve
Et pourtant...
Quand je t’emmènerai tu viendras je le sais
Je ne t’emmène pas et tu me viens quand même
JE SUIS IMMENSE POUR TOI
VRAIMENT
UN VIEUX MEC DE TROIS JOURS
ET DE DIX MILLE ANS VIEUX !
L’amour meurt...
Te lave pas t’es pure assez
Je vous envoie mon avenir
Passe dans la rue à Paris à Varsovie
Regarde-toi dans la vitrine du plaisir
Tu m’y verras
Comme un chien gardien
Comme un Ange tout mauve de ce carême imposé
J’en ai marre des fois
Et toi ?
Je te ferai un jour un enfant du malheur qui réglera
La circulation prochaine de ce siècle mourant et défait
Et souriant aussi quand tu t’ouvres
Ouvre-toi et je te rentre enfin après tout ce temps perdu
Et gagné aussi sur le moins et sur le négatif
NOUS VIVONS TOUS LES DEUX DANS LE MOINS ET PERSONNE NE LE SAIT
Je suis ton Capitaine et c’est moi qui te coule
THE MEC THE MEC THE MEC THE MEC
L’amour meurt... tu crois ?
Comme meurent les fleurs... tu crois ?
L’amour ment... tu crois ?
Comme mentent les gens... tu crois ?
L’amour va... L’amour va...
Comme vont les rivières
On ne sait pas... On ne sait pas...
On ne sait rien on ne sait rien sur terre
Nous vivons tous les deux dans le moins
Et personne ne le sait
L’amour vit...
Va ! Ouvre-toi et je le ferai vivre
Le temps qu’il vivra bien sûr...
The mec The mec...
L’amour meurt ?
J’en sais rien
Qu’est-ce que tu veux que ça me foute ?
L’amour meurt...
J’en sais rien j’en sais rien...
Comme meurent les fleurs
L’amour ment
Comme mentent les gens
L’amour va
Comme vont les rivières
On n’ sait pas
On ne sait rien sur terre
Terrible... Terrible...
Crois-moi... Cette fille !
Je réinventais la vie morte de ces sociétés horribles et banalisées...
La nuit surtout
La nuit c’est pas mal et ça force et ça gît
C’est toujours quelque part еntre peau et jactancе
J’allais la nuit des fois dans l’Autre imaginé...
Super vieux ! Super !
Et des fois ça n’était qu’imagé bien sûr
Avec ma flamme tout autour qui l’enroulait
Et les parfums et les diadèmes
Tout casqué le vison triangle comme une Dame de la Haute
Et l’orage qui s’en vient
Ou en écorce vive ou en écorchée vide
Sous la peau qui tremblait de vigilance
Et puis de sympathie et puis de peur étymologue
La vraie peur quoi ! Terrible... Terrible...
L’amour meurt...
La nuit des fois j’allais surprendre l’Autre dans des
Cafés profonds déserts
Sentant un peu la mer quand elle ne sent pas trop
Comme les femmes qui sentent tout juste ce qu’il faut
Et qui montent vers vous
Comme un outrage au macadam
Sur lequel tu posais tes problèmes et ta pisse
Comme une oraison tiède au caprice du vent
Des fois que tu serais le dernier à fouler
Ce mac ce mac ce mac... ce macadam tiens !
Ah ! Là ! Là ! L’amour ça ne peut pas s’expliquer non ?
La nuit des fois j’allais surprendre l’Autre dans la Rue Saint-Denis
Un très long time ago très long très long
Et cherchais chaque fois la même boutique transbahuté
Par le désir et puis l’en-soi de la vergogne mal lotie
Cette boutique à vue de nez et à la mordre aussi
À m’y laisser morfondre et puis couler comme
Un sous-mar dans ses eaux tristes
Cette pute... Et des fois c’était beau et sinistre
Elle s’écartait juste le temps de l’encarter
L’amour meurt...
Et plouf ! Et plouf ! Dans le minet dans le pire
Et dans le glacé
Dans le glacé sublime et qui glaçait ma lèvre
Il n’était de glacé que certaines gosses tout allumées
Et toutes décharnées et toutes berlingotes
Avec le pire au bord des fentes
Par le besoin et par le flouze du chose
Et c’était bien là le malentendu
Divin bizarre comme une châtaigne éventrée
À l’automne
Et puis ce qu’il y avait autour de la lugubre envie
Viens viens viens viens vers moi
Et pour moi et dans moi
Et pour toi
Je t’ai je t’ai je t’ai quoique quoique
Tu m’as tu m’as tu m’as Tu crois ? Viens viens viens
Que je te fasse venir Que je te fasse venir
L’amour meurt...
Et elle m’énervait celle-là qui disait Viens
Au grand chahut quand ça va fondre
Tourne donne et puis flanche Pars brise tape et fuis
Et puis ce n’est pas moi qui lui avais appris à dire Viens viens
Les mots des autres ça me dérange quand ils sont invalides
Tourne donne et puis flanche et puis fuis fuis
Mon Amour tu sais fuir... Comme un tuyau de l’entre rêve
Ça fait un de ces bruits dans mon Imaginaire
À t’en donner pour ton argent
Pour ton Spectacle à cette Éternité seconde
Qui n’avait rien pourtant de relatif
Le lavabo d’hier
Et celui de demain et ceux de dans dix siècles
Qu’est-ce que je pouvais m’imaginer les lavabos particuliers
De ces souris visqueuses
Ah! Là! Là! Cette fille vieux!
Super... Génial... Terrible...
L’amour meurt...
Dans ta boutique je mets à la voile au jardin
Au bordel adoré de tes yeux en boutique
Dans ta conscience je coule comme un hasard superbe
Et riche dans cette rue passante
Ah ! prends-en donc de mon moi du profond
Comme dans le Pacifique
Là où les mecs ne peuvent pas sous-mariner
Dans ma boutique des poissons abstraits
Avec les baleines bleues tu connais ?
Et les filles elles sont pas bleues crois-moi
Et puis elles ne causent pas à 4 000 bornes de distance
Elles causent avec leur transistor à ailettes
Des fois qu’elles pourraient s’envoler...
Et celle-là Sébasto en 36 qu’était pas bleue non
Qui était noire en dessous avec cette plage entre le haut
Du bas noir aussi et son delta noir encore
Comme les sourires mouillés d’Harlem
En Afrique USA
Terrible vieux terrible...
L’amour meurt
Comme meurent les fleurs
L’amour ment comme mentent les gens
L’amour va
Comme va la lumière
On n’ sait pas
On ne sait rien sur terre
La lumière
Ma lumière
Ta lumière
Elle ne vient pas de l’édéèfe
Elle ne vient pas de la wonder
Ni des étoiles
Oui peut-être un peu de ces étoiles qui nous arrivent avec un retard de grève et d’insouciance qui me les fait amies et fraternelles pourquoi pas ?
Ma lumière de toi que j’ai dans moi
Que tu as dans toi
Te lave pas t’es pure assez
Je vous envoie tout mon passé
Tu sais je pense à tout à toi à tes dessous de foudre
Et de l’attente qui te les fait brillants
Polis
Sûrs de moi
Je t’aime
J’imagine quand tu n’es que perdue pour un temps
Ce temps qui nous soumet à la parure
Aux désordres des autres
À l’Anarchie et à l’Amour aussi
Je t’arrime à moi comme un navire fatigué de ces gros temps
Et d’Atlantique enfin... Il y en a marre de cet Océan de rêve
Et pourtant...
Quand je t’emmènerai tu viendras je le sais
Je ne t’emmène pas et tu me viens quand même
JE SUIS IMMENSE POUR TOI
VRAIMENT
UN VIEUX MEC DE TROIS JOURS
ET DE DIX MILLE ANS VIEUX !
L’amour meurt...
Te lave pas t’es pure assez
Je vous envoie mon avenir
Passe dans la rue à Paris à Varsovie
Regarde-toi dans la vitrine du plaisir
Tu m’y verras
Comme un chien gardien
Comme un Ange tout mauve de ce carême imposé
J’en ai marre des fois
Et toi ?
Je te ferai un jour un enfant du malheur qui réglera
La circulation prochaine de ce siècle mourant et défait
Et souriant aussi quand tu t’ouvres
Ouvre-toi et je te rentre enfin après tout ce temps perdu
Et gagné aussi sur le moins et sur le négatif
NOUS VIVONS TOUS LES DEUX DANS LE MOINS ET PERSONNE NE LE SAIT
Je suis ton Capitaine et c’est moi qui te coule
THE MEC THE MEC THE MEC THE MEC
L’amour meurt... tu crois ?
Comme meurent les fleurs... tu crois ?
L’amour ment... tu crois ?
Comme mentent les gens... tu crois ?
L’amour va... L’amour va...
Comme vont les rivières
On ne sait pas... On ne sait pas...
On ne sait rien on ne sait rien sur terre
Nous vivons tous les deux dans le moins
Et personne ne le sait
L’amour vit...
Va ! Ouvre-toi et je le ferai vivre
Le temps qu’il vivra bien sûr...
The mec The mec...
L’amour meurt ?
J’en sais rien
Qu’est-ce que tu veux que ça me foute ?
L’amour meurt...
J’en sais rien j’en sais rien...
( Lo Ferr )
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