Ça change rien, quand tu taff pas qu' t'es pas en famille
Ça change rien, avec ton p'tit paqu'tage enfermé
Tu penses bien, que dans ces cas là tout est permis
Merci à toi l'état pour ces 10 mois où j'ai pu dormir
La sèrmi, c'est aucun toit et rien à manger
ÊtrE servi, de graves problèmes d'hygiène de santé
Plus bander, alors qu' 10 chiennent veulent faire des folies
Oublier, quelle heure il est quels sont leur soucis
J' veux briller, mais dans une très lointaine galaxie
J' veux crier, sans qu' les voisins appellent les keflis
J' peux crever, n'importE quand j' m'en bats les glawis
Tant que j' pars sans souffrir sans faire de mal à ceux qu' je chéri
Cheri, je profit'rai guère + du soleil
Guan-i, lorsquE tu te couches il se réveille
Comme une très vieille chauve souris, je n' me lève que pour chasser
Ma main droite à la pêche mais tout le reste est bien encrassé
« minuit ou midi,chacun vit à son rythme
Je suis né à 20h10, on n'est pas dans l' même cycle
On joue pas dans l' même cirque, tu comprends pas le cercle
Les rappeurs vivent la nuit, car elle apporte des textes
L'avenir appartient à ceux qui s' lèvent avec la pêche
J'ai l' sourire sur les lèvres parc' que tu payes mon chômage
Mec, t'es deg, ben alors fais comme moi
Quand l' pays s'ra à sec, ce s'ra la fin du coma »
L'oiseau nocturne, il ne piaille pas pour n'importE quoi
Prends exemplE sur lui, toi la commère qu' habite au A
On t' voit derrière tes rideaux, t' mêler des affaires d'autrui
Occupe toi de tes 15 chats, va mater plus belle la vie
Rentre chez toi avant minuit, après la rue est dang'reuse
Place aux putes et aux bandits, qui n' craignent pas les bandes rugueuses
La journée il y a trop d' bruit, trop de citoyens modèles
Trop de crevards en ville, genre ceux qui dealent à la sauvette
La nuit j' voix pas les jaloux, on est un + égo
Y a moins d' monde qui te vouvoie, c'est + du « wesh ça va gros »?
Maint'nant j' suis à la campagne, y' a qu' des hiboux des crapauds
Le silence presque absolu, méditation et repos
Une impression d'êtrE seul, s'être échappé du troupeau
Malgré le projet ech'lon, mon degré de parano
Je suis calmE comme jamais, j' pourrai l'être au paradis
Les saintes nitouches ça m' stresse, au moins autant qu' les lois débiles
Iguan le 1er ronin, instru de la case à prod
J' copie colle pas le refrain, car je n' suis pas dans la norme
Il est 6 heure du matin, mais j' voudrais écrire encore
Après je me couche vite fait, une branlette et je m'endors
J'entendrais pas le facteur, porteur de mauvaises nouvelles
La sonn'rie du téléphone, à 2 touches de la poubelle
Demain est un autrE jour, mais ce s'ra le même bordel
Alors je reste éveillé, tant que je suis zen
Ça change rien, avec ton p'tit paqu'tage enfermé
Tu penses bien, que dans ces cas là tout est permis
Merci à toi l'état pour ces 10 mois où j'ai pu dormir
La sèrmi, c'est aucun toit et rien à manger
ÊtrE servi, de graves problèmes d'hygiène de santé
Plus bander, alors qu' 10 chiennent veulent faire des folies
Oublier, quelle heure il est quels sont leur soucis
J' veux briller, mais dans une très lointaine galaxie
J' veux crier, sans qu' les voisins appellent les keflis
J' peux crever, n'importE quand j' m'en bats les glawis
Tant que j' pars sans souffrir sans faire de mal à ceux qu' je chéri
Cheri, je profit'rai guère + du soleil
Guan-i, lorsquE tu te couches il se réveille
Comme une très vieille chauve souris, je n' me lève que pour chasser
Ma main droite à la pêche mais tout le reste est bien encrassé
« minuit ou midi,chacun vit à son rythme
Je suis né à 20h10, on n'est pas dans l' même cycle
On joue pas dans l' même cirque, tu comprends pas le cercle
Les rappeurs vivent la nuit, car elle apporte des textes
L'avenir appartient à ceux qui s' lèvent avec la pêche
J'ai l' sourire sur les lèvres parc' que tu payes mon chômage
Mec, t'es deg, ben alors fais comme moi
Quand l' pays s'ra à sec, ce s'ra la fin du coma »
L'oiseau nocturne, il ne piaille pas pour n'importE quoi
Prends exemplE sur lui, toi la commère qu' habite au A
On t' voit derrière tes rideaux, t' mêler des affaires d'autrui
Occupe toi de tes 15 chats, va mater plus belle la vie
Rentre chez toi avant minuit, après la rue est dang'reuse
Place aux putes et aux bandits, qui n' craignent pas les bandes rugueuses
La journée il y a trop d' bruit, trop de citoyens modèles
Trop de crevards en ville, genre ceux qui dealent à la sauvette
La nuit j' voix pas les jaloux, on est un + égo
Y a moins d' monde qui te vouvoie, c'est + du « wesh ça va gros »?
Maint'nant j' suis à la campagne, y' a qu' des hiboux des crapauds
Le silence presque absolu, méditation et repos
Une impression d'êtrE seul, s'être échappé du troupeau
Malgré le projet ech'lon, mon degré de parano
Je suis calmE comme jamais, j' pourrai l'être au paradis
Les saintes nitouches ça m' stresse, au moins autant qu' les lois débiles
Iguan le 1er ronin, instru de la case à prod
J' copie colle pas le refrain, car je n' suis pas dans la norme
Il est 6 heure du matin, mais j' voudrais écrire encore
Après je me couche vite fait, une branlette et je m'endors
J'entendrais pas le facteur, porteur de mauvaises nouvelles
La sonn'rie du téléphone, à 2 touches de la poubelle
Demain est un autrE jour, mais ce s'ra le même bordel
Alors je reste éveillé, tant que je suis zen
( Iguan )
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