Lance des cailloux en marchant dans la mer qui reste de glace
Danse sur l’étang qui ruisselle sous la neige
Dans ces instants de grâce le soleil ne s’embrase
Reste timide, rougissant de sa chaleur sacrilège
Sans lumières trompeuses les heures s’écoulent, vides
Sans temporalité les tentatives vaines
D’un tant soit peu revivre tanguant, sous ces cieux de givre
Pétrifiées comme les lacs, blancs, où les grêles rebondissent
Musique des vents dans les pluies adamantines
Percussions mordantes sur les peaux qui se déchirent
Aux prises avec les forces inébranlables, frigorifiques
Les sons disparaissent dans la nature souveraine
S’abritent les âmes égarées sous les pins
S’entassant fantassins des forêts millénaires
S’adressant des regards dénués d’empathie
Insondables abysses de leurs yeux endormis
Sans penser aux raisons qui ne s’enchaînent plus
Sans penser au saisons qui entravent nos sens
Qui entraînent migraines et terres infertiles
Chemins qui se perdent au loin dans le silence
Loin des innarêtables
Océans s’écrasant sur les digues invisibles
Rien n’échappe
Aux langues salines érodant les âmes trop sensibles
Loin des innarêtables
Océans s’écrasant sur les digues invisibles
Rien n’échappe
Aux langues salines érodant les âmes trop sensibles
Des instruments trop chers, des fantasmes de grand air
Les yeux mouillés, pour rien, les deux pieds, trop loin de la côte
L'écume qui pétille à la bordure des verres
Même s'il fait noir on trouvera sûrement quelque-chose
À envisager de faire, à abandonner trop tôt
On se regardera distraitement se demandant si plutôt
On ne devrait pas se dire les choses en personne
Loin de là où la musique résonne
Loin des innarêtables
Océans s’écrasant sur les digues invisibles
Rien n’échappe
Aux langues salines érodant les âmes trop sensibles
Loin des innarêtables
Océans s’écrasant sur les digues invisibles
Rien n’échappe
Aux langues salines érodant les âmes trop sensibles
Mais les vagues polissent et déterrent
Retirent le sable les pensées délétères
Caressent les chevilles et les rêves amers
Enveloppent les corps les vêtements se desserrent
Et les secondes passent, plus légères
Les muscles se délacent, la mer
Reprend sa place, son roulement lourd
Et tout suivra son cours
Mais les vagues polissent et déterrent
Retirent le sable les pensées délétères
Caressent les chevilles et les rêves amers
Enveloppent les corps les vêtements se desserrent
Et les secondes passent, plus légères
Les muscles se délacent, la mer
Reprend sa place, son roulement lourd
Et tout suivra son cours
Danse sur l’étang qui ruisselle sous la neige
Dans ces instants de grâce le soleil ne s’embrase
Reste timide, rougissant de sa chaleur sacrilège
Sans lumières trompeuses les heures s’écoulent, vides
Sans temporalité les tentatives vaines
D’un tant soit peu revivre tanguant, sous ces cieux de givre
Pétrifiées comme les lacs, blancs, où les grêles rebondissent
Musique des vents dans les pluies adamantines
Percussions mordantes sur les peaux qui se déchirent
Aux prises avec les forces inébranlables, frigorifiques
Les sons disparaissent dans la nature souveraine
S’abritent les âmes égarées sous les pins
S’entassant fantassins des forêts millénaires
S’adressant des regards dénués d’empathie
Insondables abysses de leurs yeux endormis
Sans penser aux raisons qui ne s’enchaînent plus
Sans penser au saisons qui entravent nos sens
Qui entraînent migraines et terres infertiles
Chemins qui se perdent au loin dans le silence
Loin des innarêtables
Océans s’écrasant sur les digues invisibles
Rien n’échappe
Aux langues salines érodant les âmes trop sensibles
Loin des innarêtables
Océans s’écrasant sur les digues invisibles
Rien n’échappe
Aux langues salines érodant les âmes trop sensibles
Des instruments trop chers, des fantasmes de grand air
Les yeux mouillés, pour rien, les deux pieds, trop loin de la côte
L'écume qui pétille à la bordure des verres
Même s'il fait noir on trouvera sûrement quelque-chose
À envisager de faire, à abandonner trop tôt
On se regardera distraitement se demandant si plutôt
On ne devrait pas se dire les choses en personne
Loin de là où la musique résonne
Loin des innarêtables
Océans s’écrasant sur les digues invisibles
Rien n’échappe
Aux langues salines érodant les âmes trop sensibles
Loin des innarêtables
Océans s’écrasant sur les digues invisibles
Rien n’échappe
Aux langues salines érodant les âmes trop sensibles
Mais les vagues polissent et déterrent
Retirent le sable les pensées délétères
Caressent les chevilles et les rêves amers
Enveloppent les corps les vêtements se desserrent
Et les secondes passent, plus légères
Les muscles se délacent, la mer
Reprend sa place, son roulement lourd
Et tout suivra son cours
Mais les vagues polissent et déterrent
Retirent le sable les pensées délétères
Caressent les chevilles et les rêves amers
Enveloppent les corps les vêtements se desserrent
Et les secondes passent, plus légères
Les muscles se délacent, la mer
Reprend sa place, son roulement lourd
Et tout suivra son cours
( Grand Nuage )
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