Dans un paradoxe d’amertume
Une fleur sauvage s’allume
Alors que tombent des pétales d’étoiles
Dans une grande flaque de gasoil
L’océan s’est retiré dans un coup de vent
Là où Mona se terre en tremblant
Une fleur en peau lisse sa jolie robe
Des flocons de lune tombent en communion avec l’aube
Un lycanthrope nyctalope offre une clope à un cyclope
Au sommet de l’arc en ciel, Pégase galope
La mer est si maigre que l’on lui voit ses côtes
Un ver marin gentiment m’asticote
Dans la pénombre d’une souricière
Ma mine dort à ciel couvert
Un jeune hippocampe sans sa tante
Gambade dans la houle menaçante
Pendant ce temps j’admire une jolie passante
Qui ressemble à celle qui me tente et me hante
L’erreur judicieuse d’une aurore audacieuse
Occasionne une féerie magistralement ténébreuse
Une lumière opaline dodeline sur la colline
Et je regarde ébahi l’envol d’un essaim d’étamines
Quelques vieux grains de poussière
Redeviennent en réflexion matière
Soudain une symphonie de tempête infernale
Et dans la brume matinale dix femmes astrales
M’empêchent d’ouvrir mes cieux primitifs
Tel un Robinson sur un esquif
Vendredi est là qui me menace
Je pète les plombs mais le courant passe
Le courant passe ce soir
Telle une poussière d'étoiles qui tombe dans l'infini
Pour l'éternité
Mona révèles toi ce soir
Une fleur sauvage s’allume
Alors que tombent des pétales d’étoiles
Dans une grande flaque de gasoil
L’océan s’est retiré dans un coup de vent
Là où Mona se terre en tremblant
Une fleur en peau lisse sa jolie robe
Des flocons de lune tombent en communion avec l’aube
Un lycanthrope nyctalope offre une clope à un cyclope
Au sommet de l’arc en ciel, Pégase galope
La mer est si maigre que l’on lui voit ses côtes
Un ver marin gentiment m’asticote
Dans la pénombre d’une souricière
Ma mine dort à ciel couvert
Un jeune hippocampe sans sa tante
Gambade dans la houle menaçante
Pendant ce temps j’admire une jolie passante
Qui ressemble à celle qui me tente et me hante
L’erreur judicieuse d’une aurore audacieuse
Occasionne une féerie magistralement ténébreuse
Une lumière opaline dodeline sur la colline
Et je regarde ébahi l’envol d’un essaim d’étamines
Quelques vieux grains de poussière
Redeviennent en réflexion matière
Soudain une symphonie de tempête infernale
Et dans la brume matinale dix femmes astrales
M’empêchent d’ouvrir mes cieux primitifs
Tel un Robinson sur un esquif
Vendredi est là qui me menace
Je pète les plombs mais le courant passe
Le courant passe ce soir
Telle une poussière d'étoiles qui tombe dans l'infini
Pour l'éternité
Mona révèles toi ce soir
( Teddy's Beer )
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