[Paroles de "MOSCOU"]
Oh c’est la pitié qui me traîne
Car l’appétit n’a plus de goût
Je me sens tendre vers la haine
Et je vis de patates et de choux
Se pourrait-il que rien ne freine
La vaine envie de voir Moscou
Panique à la place publique
Malaise sur le fond des choses
Illustre peur d’un apathique
Serait d’en oublier la cause
Ça reste un cauchemar érotique
L’un se souvient l’autre s’impose
Abattre des murs de carton
Qui s’ouvre sur l’appartement
J’exige mes parcelles d’horizon
Je veux ma place parmi les grands
On m’offre une vue sur le balcon
Je n’ai rien
Pas même un enfant
La pression monte à la bouilloire
Et le silence a quelque chose de chantant
Comme le sillement d’un vieux char
Ça se sait et ça s’entend
L’étincelle dans le soir
Mettra le feu à la rampe
Oh c’est la pitié qui me traîne
Car l’appétit n’a plus de goût
Je me sens tendre vers la haine
Et je vis de patates et de choux
Se pourrait-il que rien ne freine
La vaine envie de voir Moscou
Panique à la place publique
Malaise sur le fond des choses
Illustre peur d’un apathique
Serait d’en oublier la cause
Ça reste un cauchemar érotique
L’un se souvient l’autre s’impose
Abattre des murs de carton
Qui s’ouvre sur l’appartement
J’exige mes parcelles d’horizon
Je veux ma place parmi les grands
On m’offre une vue sur le balcon
Je n’ai rien
Pas même un enfant
La pression monte à la bouilloire
Et le silence a quelque chose de chantant
Comme le sillement d’un vieux char
Ça se sait et ça s’entend
L’étincelle dans le soir
Mettra le feu à la rampe
( Mathieu Brub )
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