[Paroles de "Perfect match" ft. L'Étrange, Nekfeu & Alpha Wann]
[Intro]
Pense... danse et fonce !
[Couplet 1 : L’Etrange]
Pense au nombre de ceux qui portent le deuil
Que si tu portes l’arme, tu portes l’œil
Trop d’projets restés lettres mortes
Dans Babylone où rien n’importe à part le portefeuille
Et danse ! Danse jusqu’à épuisement
Oublie ton masque, oublie ton déguisement
Oui, danse ! Mais reste vivant
Quitte le bal masqué où règne le travestissement
Oui, reste vivant, fais rimer existence avec résistance
Puis fonce, franchis les limites de la transe
Conserve un temps d’avance dans ta lancée
Fonce, vole au-dessus du monde
La vie n’est qu’un moment, la mort n’est qu’une seconde
Donc fonce, fais rimer existence avec résistance dans ta lancée
[Couplet 2 : Nekfeu]
Si mon fric, c’était ton fric avant que j'recompte la somme
Me sors pas d’sornettes, que la honte t’assomme
Mais si l’on fuit cet immonde vice, si l’on s’fie à ces complices
On oublie ces visions tristes y compris les immondices
Avance sans perdre de temps avec la mode des écrits usuels
On s’méfie des banques mais on s’accorde un crédit mutuel
J’ai demandé « il est bien ce monde ? », le silence était insolent
Mais un seul empruntant le bien se rince dans l’eau étincelante
Éteins seulement un instant l’insensé engin qui t'force
J'suis bien quand c’est simple, sans dédain
J’suis rien sans ces frangins qui m’portent
Vu qu’les méchants sont maitres, mes aveux ont l’air de ruses
Je n’vois que des aveugles à perte de vue
Merde, j’sais pas quoi faire de plus, être le premier
Pour aider son prochain dans l’atmosphère de ruse
Éteins seulement l’engin qui t’force, faut s'marrer, en abuser
Les mecs mariés à la rue peuvent se barrer sans un divorce
[Couplet 3 : Alpha Wann]
Nique être bookmaker ou trader, j’suis dans les flows
C’est tout, je cherche à voir l’espace
Comme dans Moonraker 'vec Roger Moore
Le flouze fait péter les plombs, après réflexion
J’en veux juste plus qu’les profs qui m’mettaient des pressions
Dans mon sac, j’ai un poignard et des claquettes
Car la life, c’est une croisade et une croisière
Même si t’y crois ap, imagine un alien
Qui cherche du knowledge, du savoir sur notre planète
J’lui parlerais des aztèques, des massacres
Et du fait qu’un noir peut pas avoir un appart' dans l’troisième
J’aborderais ma rage, mon majeur
J’lui dirais qu’ici on juge un homme à la largeur d’son lare-feuille
J’parlerais des bombes, des pauvres dans l’monde
Honteux, j’mentirais sur la valeur d’mon Ralph
J’remplis bien mes poches pour apprécier la vie
Négro, la fin est proche, la troisième guerre arrive
[Couplet 4 : Jazzy Bazz]
La vie est ainsi faite, envier les alliés du système
Chaque matinée sur l’pallier, l’cœur habillé de tristesse
Les yeux rouges écarlates, rentrant d’une soirée banale
Boire et foirer sa life dans l’espoir de croiser la joie
Allez, gars, j’te croyais capable
Pourquoi tu t'détruis pas comme nous ?
Réduits dans des débris d’alcool croyant que Dieu pardonne tout
J’attends que les juges de mon âme me condamnent
Qu’ils se demandent si j’suis têtu ou si j’ai lu le contrat
Me convoitant pour que débute un constat immoral
Comme mes pensées emprisonnées dans les cellules de mon crâne
Mes gars se foutent de la sentence
Toi, quoi la peur, yo, c’est tout c’que t’as dans l’ventre ?
J’me suis retrouvé en présence de la démence
Chemin faisant dans l’indécence
La roue tourne mais dans quel sens ?
Est-ce qu’on avance ou on recule dans cet enfer ?
Le temps nous joue des tours et la roue tourne à l’envers
T’es du-per si tu crois qu’j’récupère des écus
Lorsque j’énumère mon vécu, mec, j’aurais dû faire des études
Dans les rues j’erre sans vrai but, la vérité, c’est qu’ça me rend fou
Comme ces rageux méprisants
Me disant que j’ferai pas de grands coups
J’veux pas d’une vie fade et sans gout
J’craque, des fois j’pète mon câble
Sans tromper pour compter du fric comme un expert-comptable
La vie, une pêche frontale, ils font les fiers
Mais tous mes frères ont mal
Pas d’cœur de pierre face aux pierres tombales
[Intro]
Pense... danse et fonce !
[Couplet 1 : L’Etrange]
Pense au nombre de ceux qui portent le deuil
Que si tu portes l’arme, tu portes l’œil
Trop d’projets restés lettres mortes
Dans Babylone où rien n’importe à part le portefeuille
Et danse ! Danse jusqu’à épuisement
Oublie ton masque, oublie ton déguisement
Oui, danse ! Mais reste vivant
Quitte le bal masqué où règne le travestissement
Oui, reste vivant, fais rimer existence avec résistance
Puis fonce, franchis les limites de la transe
Conserve un temps d’avance dans ta lancée
Fonce, vole au-dessus du monde
La vie n’est qu’un moment, la mort n’est qu’une seconde
Donc fonce, fais rimer existence avec résistance dans ta lancée
[Couplet 2 : Nekfeu]
Si mon fric, c’était ton fric avant que j'recompte la somme
Me sors pas d’sornettes, que la honte t’assomme
Mais si l’on fuit cet immonde vice, si l’on s’fie à ces complices
On oublie ces visions tristes y compris les immondices
Avance sans perdre de temps avec la mode des écrits usuels
On s’méfie des banques mais on s’accorde un crédit mutuel
J’ai demandé « il est bien ce monde ? », le silence était insolent
Mais un seul empruntant le bien se rince dans l’eau étincelante
Éteins seulement un instant l’insensé engin qui t'force
J'suis bien quand c’est simple, sans dédain
J’suis rien sans ces frangins qui m’portent
Vu qu’les méchants sont maitres, mes aveux ont l’air de ruses
Je n’vois que des aveugles à perte de vue
Merde, j’sais pas quoi faire de plus, être le premier
Pour aider son prochain dans l’atmosphère de ruse
Éteins seulement l’engin qui t’force, faut s'marrer, en abuser
Les mecs mariés à la rue peuvent se barrer sans un divorce
[Couplet 3 : Alpha Wann]
Nique être bookmaker ou trader, j’suis dans les flows
C’est tout, je cherche à voir l’espace
Comme dans Moonraker 'vec Roger Moore
Le flouze fait péter les plombs, après réflexion
J’en veux juste plus qu’les profs qui m’mettaient des pressions
Dans mon sac, j’ai un poignard et des claquettes
Car la life, c’est une croisade et une croisière
Même si t’y crois ap, imagine un alien
Qui cherche du knowledge, du savoir sur notre planète
J’lui parlerais des aztèques, des massacres
Et du fait qu’un noir peut pas avoir un appart' dans l’troisième
J’aborderais ma rage, mon majeur
J’lui dirais qu’ici on juge un homme à la largeur d’son lare-feuille
J’parlerais des bombes, des pauvres dans l’monde
Honteux, j’mentirais sur la valeur d’mon Ralph
J’remplis bien mes poches pour apprécier la vie
Négro, la fin est proche, la troisième guerre arrive
[Couplet 4 : Jazzy Bazz]
La vie est ainsi faite, envier les alliés du système
Chaque matinée sur l’pallier, l’cœur habillé de tristesse
Les yeux rouges écarlates, rentrant d’une soirée banale
Boire et foirer sa life dans l’espoir de croiser la joie
Allez, gars, j’te croyais capable
Pourquoi tu t'détruis pas comme nous ?
Réduits dans des débris d’alcool croyant que Dieu pardonne tout
J’attends que les juges de mon âme me condamnent
Qu’ils se demandent si j’suis têtu ou si j’ai lu le contrat
Me convoitant pour que débute un constat immoral
Comme mes pensées emprisonnées dans les cellules de mon crâne
Mes gars se foutent de la sentence
Toi, quoi la peur, yo, c’est tout c’que t’as dans l’ventre ?
J’me suis retrouvé en présence de la démence
Chemin faisant dans l’indécence
La roue tourne mais dans quel sens ?
Est-ce qu’on avance ou on recule dans cet enfer ?
Le temps nous joue des tours et la roue tourne à l’envers
T’es du-per si tu crois qu’j’récupère des écus
Lorsque j’énumère mon vécu, mec, j’aurais dû faire des études
Dans les rues j’erre sans vrai but, la vérité, c’est qu’ça me rend fou
Comme ces rageux méprisants
Me disant que j’ferai pas de grands coups
J’veux pas d’une vie fade et sans gout
J’craque, des fois j’pète mon câble
Sans tromper pour compter du fric comme un expert-comptable
La vie, une pêche frontale, ils font les fiers
Mais tous mes frères ont mal
Pas d’cœur de pierre face aux pierres tombales
( Jazzy Bazz )
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