J'viens péra ce texte sans engagement mais avec de la compassion
Car je n'arrive pas à voir la blanche colombe
Devenu noir à cause de la pollution
Les mensonges en colimaçon, les pensées faussés
Force offensé, poursuit ton effort avancé, forme un faussé devant oim
Si je m'efforce à blâmer l'âme de tes soldats armés
C'est gagner, c'est banni, c'est conquit, mais c'est la vie frère :
Vite fait, vie d'tess, vie d'merde, vue terne, sa c'est vos thermes
Parce qu'on doit voté c'est des paroles en l'air, alors accouche..
Tout commence en 1492, avec cette mondialisation qu'on inventa tous
Mais depuis fait source de tensions à tous
Je fais sourire les gens, j'suis comme un photomaton
Pour un texte homologué sans onomatopées
On vis au jour le jour, regardant de l'avant oubliant les autodafés
Mais on écrit le lendemain ma rage n'est pas reflété
Dans mes mains mais dans mes apologues sa sans taffer
Dévalisé les riches, augmenter les crimes
Abaisser les prix, dépasser la crise
Effacer la rime, abasourdi écrasé la risée
Dégustez les rires assourdissants et casser leur mines
Aboutissement réussi attend, en guise de conclusion
Je qualifie ce texte en discours narratif athée
Le sous fifre souffre ivre, son souffle livre
Sa désespérance, sa Despé rend ce sourire
Égaré.. L'écart est d'une absurdité que
Par la mesure innée l'âme surine la surdité..
Sordide et sortie des orties
Toutes t'sortes d'idées jaillissent
J'haïe ceux qui agissent pour étoffer les stéréotypes
Pas de trophées même si la stéréo tape
J'en ai trop fais, jeune et brave..
En bave sur le pavé, en bas veut braver les étreintes
Qu'on me laisse être un résistant
Qui récite tant de récits tendres, résident
Là ou l'hérésie tend à rendre l'air hésitant..
Et si tant sévissent nos écritures
C'est que nos écrits durent non pas à leurs services
-Allons, fait pas cette gueule, tu peux pas gagner tout le temps pauv' mec... Ah ah !
-Écoute, pouilleux ! Pour moi tu n'es qu'une merde de chien qui s'étale sur un trottoir... Et tu sais ce qu'on fait d'une merde de ce genre ? On peut l'enlever soigneusement avec une pelle, on peut laisser la pluie et le vent la balayer, ou bien on peut l'écraser. Alors si tu veux un conseil d'ami choisis bien l'endroit où on te chiera...
-Tu sais ce que c'est que la classe.. La classe et l'élégance
Car je n'arrive pas à voir la blanche colombe
Devenu noir à cause de la pollution
Les mensonges en colimaçon, les pensées faussés
Force offensé, poursuit ton effort avancé, forme un faussé devant oim
Si je m'efforce à blâmer l'âme de tes soldats armés
C'est gagner, c'est banni, c'est conquit, mais c'est la vie frère :
Vite fait, vie d'tess, vie d'merde, vue terne, sa c'est vos thermes
Parce qu'on doit voté c'est des paroles en l'air, alors accouche..
Tout commence en 1492, avec cette mondialisation qu'on inventa tous
Mais depuis fait source de tensions à tous
Je fais sourire les gens, j'suis comme un photomaton
Pour un texte homologué sans onomatopées
On vis au jour le jour, regardant de l'avant oubliant les autodafés
Mais on écrit le lendemain ma rage n'est pas reflété
Dans mes mains mais dans mes apologues sa sans taffer
Dévalisé les riches, augmenter les crimes
Abaisser les prix, dépasser la crise
Effacer la rime, abasourdi écrasé la risée
Dégustez les rires assourdissants et casser leur mines
Aboutissement réussi attend, en guise de conclusion
Je qualifie ce texte en discours narratif athée
Le sous fifre souffre ivre, son souffle livre
Sa désespérance, sa Despé rend ce sourire
Égaré.. L'écart est d'une absurdité que
Par la mesure innée l'âme surine la surdité..
Sordide et sortie des orties
Toutes t'sortes d'idées jaillissent
J'haïe ceux qui agissent pour étoffer les stéréotypes
Pas de trophées même si la stéréo tape
J'en ai trop fais, jeune et brave..
En bave sur le pavé, en bas veut braver les étreintes
Qu'on me laisse être un résistant
Qui récite tant de récits tendres, résident
Là ou l'hérésie tend à rendre l'air hésitant..
Et si tant sévissent nos écritures
C'est que nos écrits durent non pas à leurs services
-Allons, fait pas cette gueule, tu peux pas gagner tout le temps pauv' mec... Ah ah !
-Écoute, pouilleux ! Pour moi tu n'es qu'une merde de chien qui s'étale sur un trottoir... Et tu sais ce qu'on fait d'une merde de ce genre ? On peut l'enlever soigneusement avec une pelle, on peut laisser la pluie et le vent la balayer, ou bien on peut l'écraser. Alors si tu veux un conseil d'ami choisis bien l'endroit où on te chiera...
-Tu sais ce que c'est que la classe.. La classe et l'élégance
( As aux nuances )
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