Permettez-moi de commencer par « C’est quoi c’bordel ?! »
Les âmes sont hors d’elles et leurs conneries sont mortelles
Le mal en cortège, les cerveaux comme gamos
Et le bien qui renonce
Relance, appelle les anges
Que quelqu’un calme les songes
Quels sont les mensonges ? Je ne sais pas
En tout cas la vérité est pourrie, un peu comme vos débats
Entre « Ne votez pas ! »
Et le risque d’une guerre
Je peux vous dire que ma jeunesse a l’risque d’un ulcère
À quoi un nul sert ?
À faire le pantin
F les bonnes idées leurs politiques s’résument au bon teint
Et quand un fils de lâche, parle de cette chère terre
Sois pas surpris de voir de grandes valeurs qui s’enterrent
Face à l’adultère, j’ai vu l’adulte se taire
Par conséquent j’ai vu beaucoup de petits sans repères
Et quand les cœurs se perdent
Les démons opèrent
Les yeux se ferment, et les ventres deviennent sans frontières
Une terre entière, ne peut les suffire
Mais quel saphir pourrait empêcher leurs derniers soupirs ?
J’ai vu des peuples souffrir, même pas de quoi s’nourrir
Courir, après le rêve de voir leurs fils guérir
J’ai vu l’argent séduire, des cœurs pourrir
En regardant l’homme périr
Et faut dire
Que nos lignes misent lourd
Même si de nos jours le rap est devenu un vise sourds
Et faut dire que
Sur vos lignes Iblis court
Fallait qu’on en dise long, car vos discours disent court
Et cours après la vérité, ils te casseront
Chaque jour ils te chasseront, jamais ils s’en lasseront
Le sang a coulé sans savoir qui est le patron
On aura les bonnes réponses le jour où les bonnes questions passeront
Pardon !
Si vos limites je viens de dépasser
J’ai juste peur de voir un futur pire que le passé
Les vrais sont déclassés, les faux sont bien casés
Résultat : le poids de leurs erreurs nous a écrasé
Assez !
De vos manques de principes
F vos insignes si c’est à l’injustice qu’ils incitent
Ainsi, je parlerais et j’insiste « Toutes les larmes sont transparentes »
Dites-le aux racistes
Assiste !
À une nouvelle ère
Ils gèrent des guerres en se disant “mate ces cons se taire ”
Tellement de containers volent nos riches terres
Pour ça qu’les battements de nos cœurs sont sur l’échelle de Richter
Mystère !
Quel est le véritable but ?
Et n’me dites pas que c’est une histoire de liasses et p
Il y’a bien longtemps qu’ont été tracées toutes ces chutes
Que pour les voir se produire faudrait la vie de Belzebuth
Et zut !
Encore un sujet sensible
Encore un homme qui se voit transformé en cent cibles
Tangibles, sont les faits et preuves
Ils payent et crèvent
Puis parlent de paix et trêve
Mais bref
Bénéfique est leur programme
Vu qu’un kilogramme génère plus qu’une tonne de drames
Demande aux médias ce qu’est le bourrage de crânes
Car c’est grâce à leurs flammes, que nos têtes se crament
Acclamez et fermez-la
Ouai votre destin est terne et las
Peu importe la pourriture sur cette terre mets-la
Le paradis doit être loin, vu que l’enfer est là
Hélas
Très peu se rendent comptes
Que la justice dont ils parlent est digne des grands contes
Ils font des rencontres, puis matent ceux qui sont contre
Et là
Ils décident quel batard aura les grands comptes
J’raconte, mais chui loin de la réalité
Des fous comme rois et des cavaliers alités
Aucune moralité, faites-vous à l’idée
Que c’est l’époque la moins humaine de toute l’humanité
Tellement de vanité
Qu’le bien est loin du gain de cause
Même si certains essayent encore d’améliorer les choses
Loin d’voir la vie en rose
J’apprends, j’ose et je pose
Car le savoir est la seule arme qu’ils voudraient qu’on dépose !
Les âmes sont hors d’elles et leurs conneries sont mortelles
Le mal en cortège, les cerveaux comme gamos
Et le bien qui renonce
Relance, appelle les anges
Que quelqu’un calme les songes
Quels sont les mensonges ? Je ne sais pas
En tout cas la vérité est pourrie, un peu comme vos débats
Entre « Ne votez pas ! »
Et le risque d’une guerre
Je peux vous dire que ma jeunesse a l’risque d’un ulcère
À quoi un nul sert ?
À faire le pantin
F les bonnes idées leurs politiques s’résument au bon teint
Et quand un fils de lâche, parle de cette chère terre
Sois pas surpris de voir de grandes valeurs qui s’enterrent
Face à l’adultère, j’ai vu l’adulte se taire
Par conséquent j’ai vu beaucoup de petits sans repères
Et quand les cœurs se perdent
Les démons opèrent
Les yeux se ferment, et les ventres deviennent sans frontières
Une terre entière, ne peut les suffire
Mais quel saphir pourrait empêcher leurs derniers soupirs ?
J’ai vu des peuples souffrir, même pas de quoi s’nourrir
Courir, après le rêve de voir leurs fils guérir
J’ai vu l’argent séduire, des cœurs pourrir
En regardant l’homme périr
Et faut dire
Que nos lignes misent lourd
Même si de nos jours le rap est devenu un vise sourds
Et faut dire que
Sur vos lignes Iblis court
Fallait qu’on en dise long, car vos discours disent court
Et cours après la vérité, ils te casseront
Chaque jour ils te chasseront, jamais ils s’en lasseront
Le sang a coulé sans savoir qui est le patron
On aura les bonnes réponses le jour où les bonnes questions passeront
Pardon !
Si vos limites je viens de dépasser
J’ai juste peur de voir un futur pire que le passé
Les vrais sont déclassés, les faux sont bien casés
Résultat : le poids de leurs erreurs nous a écrasé
Assez !
De vos manques de principes
F vos insignes si c’est à l’injustice qu’ils incitent
Ainsi, je parlerais et j’insiste « Toutes les larmes sont transparentes »
Dites-le aux racistes
Assiste !
À une nouvelle ère
Ils gèrent des guerres en se disant “mate ces cons se taire ”
Tellement de containers volent nos riches terres
Pour ça qu’les battements de nos cœurs sont sur l’échelle de Richter
Mystère !
Quel est le véritable but ?
Et n’me dites pas que c’est une histoire de liasses et p
Il y’a bien longtemps qu’ont été tracées toutes ces chutes
Que pour les voir se produire faudrait la vie de Belzebuth
Et zut !
Encore un sujet sensible
Encore un homme qui se voit transformé en cent cibles
Tangibles, sont les faits et preuves
Ils payent et crèvent
Puis parlent de paix et trêve
Mais bref
Bénéfique est leur programme
Vu qu’un kilogramme génère plus qu’une tonne de drames
Demande aux médias ce qu’est le bourrage de crânes
Car c’est grâce à leurs flammes, que nos têtes se crament
Acclamez et fermez-la
Ouai votre destin est terne et las
Peu importe la pourriture sur cette terre mets-la
Le paradis doit être loin, vu que l’enfer est là
Hélas
Très peu se rendent comptes
Que la justice dont ils parlent est digne des grands contes
Ils font des rencontres, puis matent ceux qui sont contre
Et là
Ils décident quel batard aura les grands comptes
J’raconte, mais chui loin de la réalité
Des fous comme rois et des cavaliers alités
Aucune moralité, faites-vous à l’idée
Que c’est l’époque la moins humaine de toute l’humanité
Tellement de vanité
Qu’le bien est loin du gain de cause
Même si certains essayent encore d’améliorer les choses
Loin d’voir la vie en rose
J’apprends, j’ose et je pose
Car le savoir est la seule arme qu’ils voudraient qu’on dépose !
( Rafs (FRA) )
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