Le tonnerre gronde, la nuit tombe
Les lampadaires éclairent les ruelles sombres
Les camés courent s'abriter
Les neons du tabac d'à côté s'reflètent sur la chaussée et sur le trottoir d'en face la flamme d'un briquet
La tige blanche d'une Marlboro Light part directe en fumée
Place du 8 mai
Les vendeurs à la sauvette chopent la dernière navette
Retour au bled après avoir trimé
C'est ça qu'mes yeux ont imprimé
La vie un film non primé
La pluie tombe en trombe et trempe les shoes
Puis les vêtements ensuite les poches jusqu'aux tickets
C'est la loose
Les bouches de métro avalent par dizaine quelques sauteurs de tourniquet
Le bitume noir est mouillé
Le trottoir brille
Et laisse filer par milliers ses déchets. Vers des égouts affamés
Un court-métrage familier pour l'SDF humilié
Comment oublier et laisser sur le palier
Cette vision à laquelle je me sens lié, et rentrer chez moi sans genou plié. Impossible pour moi, je dois prier ou faire briller
Sur une instru au piano ces quelques mots que je viens dédier
À ceux, à celles qui sous l'averse, conversent avec la dure loi du système
Ceux qui dans la misère donne à Paris un air de poème
Ces bohèmes que personne n'aime
À ceux, à celles qui sous l'averse, conversent avec la dure loi du système
Ceux qui dans la misère donne à Paris un air de poème
Ces bohèmes que personne n'aime
Le tonnerre gronde, la nuit tombe
Les lampadaires éclairent les ruelles sombres
Les moteurs tournent comme ce client pris dans la combine
D'une prostituée qui l'embobine dans ses ristournes
La bobine tourne, le soir et son histoire se poursuivent
Les balayeurs de rue la suivent
En direct live de la street
Où ils nettoient les sucs gastriques d'un vieil alcoolique
Chaque soir c'est la même, la rue et ses coliques
Douleurs dans l'abdomen quand ce pompier s'applique
Pour sauver une vie humaine par compression thoracique
Mais l'alcool a fait son pronostic sarcastique
Longeant un corps dans un sac plastique
Dramatiques et pathétiques
En manque d'éthique
Les rues d'Paname sont synthétiques, tout scintillent sauf les étoiles...
De ceux qui crèvent dans la misère
Mais qui sont-ils
Ceux qui ont choisi d'aider leur prochain dans l'anonymat
S.I.A.P., maître chien, éboueur sans doctorat
Sur un air de piano je vous immortalise
Te quiero toi mon héros
Que le système écrase comme un mégot, je viens dédier ces mots
À ceux, à celles qui sous l'averse, conversent avec la dure loi du système
Ceux qui dans la misère donne à Paris un air de poème
Ces bohèmes que personne n'aime
À ceux, à celles qui sous l'averse, conversent avec la dure loi du système
Ceux qui dans la misère donne à Paris un air de poème
Ces bohèmes que personne n'aime
À ceux, à celles qui sous l'averse, conversent avec la dure loi du système
Ceux qui dans la misère donne à Paris un air de poème
Ces bohèmes que personne n'aime
À ceux, à celles qui sous l'averse, conversent avec la dure loi du système
Ceux qui dans la misère donne à Paris un air de poème
Ces bohèmes que personne n'aime
Les lampadaires éclairent les ruelles sombres
Les camés courent s'abriter
Les neons du tabac d'à côté s'reflètent sur la chaussée et sur le trottoir d'en face la flamme d'un briquet
La tige blanche d'une Marlboro Light part directe en fumée
Place du 8 mai
Les vendeurs à la sauvette chopent la dernière navette
Retour au bled après avoir trimé
C'est ça qu'mes yeux ont imprimé
La vie un film non primé
La pluie tombe en trombe et trempe les shoes
Puis les vêtements ensuite les poches jusqu'aux tickets
C'est la loose
Les bouches de métro avalent par dizaine quelques sauteurs de tourniquet
Le bitume noir est mouillé
Le trottoir brille
Et laisse filer par milliers ses déchets. Vers des égouts affamés
Un court-métrage familier pour l'SDF humilié
Comment oublier et laisser sur le palier
Cette vision à laquelle je me sens lié, et rentrer chez moi sans genou plié. Impossible pour moi, je dois prier ou faire briller
Sur une instru au piano ces quelques mots que je viens dédier
À ceux, à celles qui sous l'averse, conversent avec la dure loi du système
Ceux qui dans la misère donne à Paris un air de poème
Ces bohèmes que personne n'aime
À ceux, à celles qui sous l'averse, conversent avec la dure loi du système
Ceux qui dans la misère donne à Paris un air de poème
Ces bohèmes que personne n'aime
Le tonnerre gronde, la nuit tombe
Les lampadaires éclairent les ruelles sombres
Les moteurs tournent comme ce client pris dans la combine
D'une prostituée qui l'embobine dans ses ristournes
La bobine tourne, le soir et son histoire se poursuivent
Les balayeurs de rue la suivent
En direct live de la street
Où ils nettoient les sucs gastriques d'un vieil alcoolique
Chaque soir c'est la même, la rue et ses coliques
Douleurs dans l'abdomen quand ce pompier s'applique
Pour sauver une vie humaine par compression thoracique
Mais l'alcool a fait son pronostic sarcastique
Longeant un corps dans un sac plastique
Dramatiques et pathétiques
En manque d'éthique
Les rues d'Paname sont synthétiques, tout scintillent sauf les étoiles...
De ceux qui crèvent dans la misère
Mais qui sont-ils
Ceux qui ont choisi d'aider leur prochain dans l'anonymat
S.I.A.P., maître chien, éboueur sans doctorat
Sur un air de piano je vous immortalise
Te quiero toi mon héros
Que le système écrase comme un mégot, je viens dédier ces mots
À ceux, à celles qui sous l'averse, conversent avec la dure loi du système
Ceux qui dans la misère donne à Paris un air de poème
Ces bohèmes que personne n'aime
À ceux, à celles qui sous l'averse, conversent avec la dure loi du système
Ceux qui dans la misère donne à Paris un air de poème
Ces bohèmes que personne n'aime
À ceux, à celles qui sous l'averse, conversent avec la dure loi du système
Ceux qui dans la misère donne à Paris un air de poème
Ces bohèmes que personne n'aime
À ceux, à celles qui sous l'averse, conversent avec la dure loi du système
Ceux qui dans la misère donne à Paris un air de poème
Ces bohèmes que personne n'aime
( Narcisse aka Scor 16 )
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