[Paroles de "Troisième impact"]
[Couplet 1]
L'âme perdue dans les six yeux d'Adam, il en manque un, c'est l'Élise qu'on entend
J'veux plus qu'le soleil ne brille qu'en été et j'sais pas si la pluie c'était si mieux qu'avant
En vrai j'ai l'impression qu'on progresse, le futur aura p't-être l'air sympa
J'attends quand même le troisième impact, je suis la planète ecchymose que les secondes oppressent
La transformation c'était Rhéologie et Urizen c'est la confirmation
Dans guérison s'cache météorologie, pour l'instant ma salive à la goût d'hémoglobine
Eh eh, un peu de sérotonine, deux trois jours en plus qui brillent subrepticement
L'anti-héros cogite, on dit qu'la vie n'voulait pas d'moi, j'ai connu plus réticent
J'ai des enfants sur les mains, tu cherches la corde qui serre le mieux
On s'est caché derrière quelques vœux, en vrai j'en voulais pas de cette lugubre étreinte
Ces angoisses, c'est pas les miennes, fais la quête pour d'la dopamine
M'en branle d'être quidam ou Dovahkiin, et je crois pas vraiment qu'on s'libère par les chaînes
Réfléchis bien, inspire l'air des divins, tu peux pleurer si fort comme exister si loin
Tu peux mourir mille fois, moi non plus j'sais pas qui croire
Oublie les soupirs d'ivoire, le temps c'est d'la magie noire
J'crois qu'j'essaie d'me convaincre d'un truc, j'crois qu'j'vais fondre mon cerveau comme Rick
Le ciel rougeoie aux confins d'l'absurde, et résigné, les choses se compliquent
Résiste, on dira qu'elle roque, temple calcaire en plein cœur d'Uruk
J'attends calvaire mais pour l'heure tout roule, je suis toujours le quelconque qu'elle moque
Léana s'écroule en même temps qu'l'Irak, posés à l'île d'Yeu on boit des seaux d'pirate
Pas vraiment bouleversé par le sort d'Beyrouth, les machines redémarrent, tout est optimal
[Pont]
Putain, qu'est-ce que j'nous déteste, putain, qu'est-ce que j'nous déteste
Putain, qu'est-ce que j'nous déteste, putain, qu'est-ce que j'nous déteste
[Couplet 2]
Et oups oups oups, une parole de travers
Tu t'es trompé d'converse, mon cœur fait boom boom boom
Amour coup d'foudre, elle m'épuise cette colère
Je m'aime pas j'me tolère, j'me rends coup pour coup
Simulacre de cratère dans Vésuve de [meso ?]
Tu veux t'en aller ? Bah tais-toi et vas-y
J'ai pas assez de ça, je veux plus de quelque chose
On s'excuse, on s'expose, on se tue, on s'explose
Ouvre ton loyer, me parle même plus d'thunes
J'renais encore d'une lune, mais j'meurs tout l'temps noyé
J'envie les foules enragées, moi j'suis tout l'temps déçu
Des doutes dans l'écume, j'en ai pourtant vécu
Ils sont trop proches pour le distancer
J'plonge mes doigts dans l'existence même
T'as vie, qu'est-ce t'en fais ? Au fond qui s'en serre ?
Akira explose et le silence règne
Elle m'regarde dans les yeux, je m'extirpe en secret
Elle veut pas d'moi, on est deux, le cœur pétrifiant de haine
Une lente [longue ?] vie intérieure, l'accident renaît
L'incendie c'est toi, je m'en vais prendre l'air
Ha ha ha, les monstres s'enivrent
Vivement la fin, et qu'il neige en juillet
J'suis fatigué, j'ai vécu tant de nuits bleues
Notre histoire commence à m'ennuyer
[Couplet 1]
L'âme perdue dans les six yeux d'Adam, il en manque un, c'est l'Élise qu'on entend
J'veux plus qu'le soleil ne brille qu'en été et j'sais pas si la pluie c'était si mieux qu'avant
En vrai j'ai l'impression qu'on progresse, le futur aura p't-être l'air sympa
J'attends quand même le troisième impact, je suis la planète ecchymose que les secondes oppressent
La transformation c'était Rhéologie et Urizen c'est la confirmation
Dans guérison s'cache météorologie, pour l'instant ma salive à la goût d'hémoglobine
Eh eh, un peu de sérotonine, deux trois jours en plus qui brillent subrepticement
L'anti-héros cogite, on dit qu'la vie n'voulait pas d'moi, j'ai connu plus réticent
J'ai des enfants sur les mains, tu cherches la corde qui serre le mieux
On s'est caché derrière quelques vœux, en vrai j'en voulais pas de cette lugubre étreinte
Ces angoisses, c'est pas les miennes, fais la quête pour d'la dopamine
M'en branle d'être quidam ou Dovahkiin, et je crois pas vraiment qu'on s'libère par les chaînes
Réfléchis bien, inspire l'air des divins, tu peux pleurer si fort comme exister si loin
Tu peux mourir mille fois, moi non plus j'sais pas qui croire
Oublie les soupirs d'ivoire, le temps c'est d'la magie noire
J'crois qu'j'essaie d'me convaincre d'un truc, j'crois qu'j'vais fondre mon cerveau comme Rick
Le ciel rougeoie aux confins d'l'absurde, et résigné, les choses se compliquent
Résiste, on dira qu'elle roque, temple calcaire en plein cœur d'Uruk
J'attends calvaire mais pour l'heure tout roule, je suis toujours le quelconque qu'elle moque
Léana s'écroule en même temps qu'l'Irak, posés à l'île d'Yeu on boit des seaux d'pirate
Pas vraiment bouleversé par le sort d'Beyrouth, les machines redémarrent, tout est optimal
[Pont]
Putain, qu'est-ce que j'nous déteste, putain, qu'est-ce que j'nous déteste
Putain, qu'est-ce que j'nous déteste, putain, qu'est-ce que j'nous déteste
[Couplet 2]
Et oups oups oups, une parole de travers
Tu t'es trompé d'converse, mon cœur fait boom boom boom
Amour coup d'foudre, elle m'épuise cette colère
Je m'aime pas j'me tolère, j'me rends coup pour coup
Simulacre de cratère dans Vésuve de [meso ?]
Tu veux t'en aller ? Bah tais-toi et vas-y
J'ai pas assez de ça, je veux plus de quelque chose
On s'excuse, on s'expose, on se tue, on s'explose
Ouvre ton loyer, me parle même plus d'thunes
J'renais encore d'une lune, mais j'meurs tout l'temps noyé
J'envie les foules enragées, moi j'suis tout l'temps déçu
Des doutes dans l'écume, j'en ai pourtant vécu
Ils sont trop proches pour le distancer
J'plonge mes doigts dans l'existence même
T'as vie, qu'est-ce t'en fais ? Au fond qui s'en serre ?
Akira explose et le silence règne
Elle m'regarde dans les yeux, je m'extirpe en secret
Elle veut pas d'moi, on est deux, le cœur pétrifiant de haine
Une lente [longue ?] vie intérieure, l'accident renaît
L'incendie c'est toi, je m'en vais prendre l'air
Ha ha ha, les monstres s'enivrent
Vivement la fin, et qu'il neige en juillet
J'suis fatigué, j'ai vécu tant de nuits bleues
Notre histoire commence à m'ennuyer
( Nedelko )
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