Valérie je t’aime
Je t’appelle et je murmure
D’atterrants poèmes
Sur d’insensés futurs
Tentant de combler
De ma pauvre éloquence
L’affligeant fossé
Qu’a creusé ma souffrance
Valérie hier
Quand nos corps dansaient
Ballottés par l’ivresse
Que l’été nous offrait
Sur le sable chaud
Qui pensait réunir
En un court instant
Nos plus ardents désirs
Valérie j’irai
D’un pas impassible
Charriant tel un boulet
Notre amour impossible
Déversant mon malheur
Qu’il se fonde au bitume
Pour alléger mon cœur
Débordant d’amertume
Valérie je n’ai
Plus grand chose à t’offrir
Quelques fleurs fanées
Quelques vains soupirs
Accrochant mes espoirs
À ces photos jaunies
Qui sont mon seul rempart
Aux assauts de l’oubli
Je t’appelle et je murmure
D’atterrants poèmes
Sur d’insensés futurs
Tentant de combler
De ma pauvre éloquence
L’affligeant fossé
Qu’a creusé ma souffrance
Valérie hier
Quand nos corps dansaient
Ballottés par l’ivresse
Que l’été nous offrait
Sur le sable chaud
Qui pensait réunir
En un court instant
Nos plus ardents désirs
Valérie j’irai
D’un pas impassible
Charriant tel un boulet
Notre amour impossible
Déversant mon malheur
Qu’il se fonde au bitume
Pour alléger mon cœur
Débordant d’amertume
Valérie je n’ai
Plus grand chose à t’offrir
Quelques fleurs fanées
Quelques vains soupirs
Accrochant mes espoirs
À ces photos jaunies
Qui sont mon seul rempart
Aux assauts de l’oubli
( Ludwig Von 88 )
www.ChordsAZ.com