[Paroles de "Vol Nocturne"]
[Refrain]
Seul dans mon appart défoncé
J’plane m’embarque sans même y penser
Quitte mon corps en évitant
J’vois mon crâne comme pénitencier
À cheval entre calme et danger
J’vis comme ça j’vais jamais changer
Vie en vrac j’l’ai jamais rangé
J’vois leur monde comme un étranger
[Couplet 1]
Envie de tout faire avant d’y passer
Passé, je peux l’ignorer mais pas l’effacer
Facétieuse est la route sur laquelle j’ai tracé
Tracé derrière des chimères sans les dépasser
Car s’élever dans leur monde, c’est s’égarer
D’la réussite dont tout les profs m’ont parlé
Parler, je les ai laissé faire et j’me suis barré
Taré à leurs yeux, car j’ai une vie à embrasser
Brasser des billets des billets puis les entasser
Tasses et traîtres voudront venir s’en emparer
Paré à tout moment car la bêtise est armée
Larmes et peines sont nécessaires pour se regarder, bah ouai
Le climat de l’humanité s’est gâté
Catégorisés par des couleurs ou des papiers
Papiers, pour staffer, pour manger ou pour s’évader
Fade est le monde que je m’obstine à regarder, oui
[Refrain]
Seul dans mon appart défoncé
J’plane m’embarque sans même y penser
Quitte mon corps en évitant
J’vois mon crâne comme pénitencier
À cheval entre calme et danger
J’vis comme ça j’vais jamais changer
Vie en vrac j’l’ai jamais rangé
J’vois leur monde comme un étranger
[Couplet 2]
Garder le cap, tenir sans s’faire écraser
Rester de marbre alors que tout est cassé
Pas peur de voir, pas peur de tout déplacer
Je reste moi, ce monde là dérive assez
Garder le cap, tenir sans s’faire écraser
Rester de marbre alors que tout est cassé?
J’ai pas peur de voir, pas peur de tout déplacer
Mais je reste moi, ce monde là dérive assez, assez
Assez de devoir obéir aux code, aux présidents, aux dogmes
Quand je vois les conséquences de ce que les Hommes ont infligé aux Hommes
Le culte du corps et d’la connerie pour coller aux normes
Je hais l’humain j’me serais p’t’être senti mieux avec les dinosaures
Quand ils prieront le Soleil, je resterai à bénir l’Automne
Je sais que j’suis pas comme eux mais leur connerie humaine me colle au corps
Ce que les femmes subissent, ce que leurs souffrances apportent aux porcs
Je rêve de liberté quand j’vois les fardeaux que mes potos portent
Nan j’ai pas peur de vivre, nan j’ai pas peur d’aimer
Nan j’ai pas peur de dire que nôtre époque nous a baisé
Nan mes valeurs me guident, nan j’ai pas peur de ces
Gens qui m’conseillent de fuir quand toutes les portes seront scellées
Nan j’ai pas peur des nuits blanches des vapeurs d’excès
Nan j’ai pas peur de dire que mon âme s’est fait annexer
Nan j’ai pas peur d’être libre, nan j’ai pas peur de perdre
Nan j’ai pas peur de miser toute ma vie sur un essai
[Refrain]
Seul dans mon appart défoncé
J’plane m’embarque sans même y penser
Quitte mon corps en évitant
J’vois mon crâne comme pénitencier
À cheval entre calme et danger
J’vis comme ça j’vais jamais changer
Vie en vrac j’l’ai jamais rangé
J’vois leur monde comme un étranger
[Refrain]
Seul dans mon appart défoncé
J’plane m’embarque sans même y penser
Quitte mon corps en évitant
J’vois mon crâne comme pénitencier
À cheval entre calme et danger
J’vis comme ça j’vais jamais changer
Vie en vrac j’l’ai jamais rangé
J’vois leur monde comme un étranger
[Couplet 1]
Envie de tout faire avant d’y passer
Passé, je peux l’ignorer mais pas l’effacer
Facétieuse est la route sur laquelle j’ai tracé
Tracé derrière des chimères sans les dépasser
Car s’élever dans leur monde, c’est s’égarer
D’la réussite dont tout les profs m’ont parlé
Parler, je les ai laissé faire et j’me suis barré
Taré à leurs yeux, car j’ai une vie à embrasser
Brasser des billets des billets puis les entasser
Tasses et traîtres voudront venir s’en emparer
Paré à tout moment car la bêtise est armée
Larmes et peines sont nécessaires pour se regarder, bah ouai
Le climat de l’humanité s’est gâté
Catégorisés par des couleurs ou des papiers
Papiers, pour staffer, pour manger ou pour s’évader
Fade est le monde que je m’obstine à regarder, oui
[Refrain]
Seul dans mon appart défoncé
J’plane m’embarque sans même y penser
Quitte mon corps en évitant
J’vois mon crâne comme pénitencier
À cheval entre calme et danger
J’vis comme ça j’vais jamais changer
Vie en vrac j’l’ai jamais rangé
J’vois leur monde comme un étranger
[Couplet 2]
Garder le cap, tenir sans s’faire écraser
Rester de marbre alors que tout est cassé
Pas peur de voir, pas peur de tout déplacer
Je reste moi, ce monde là dérive assez
Garder le cap, tenir sans s’faire écraser
Rester de marbre alors que tout est cassé?
J’ai pas peur de voir, pas peur de tout déplacer
Mais je reste moi, ce monde là dérive assez, assez
Assez de devoir obéir aux code, aux présidents, aux dogmes
Quand je vois les conséquences de ce que les Hommes ont infligé aux Hommes
Le culte du corps et d’la connerie pour coller aux normes
Je hais l’humain j’me serais p’t’être senti mieux avec les dinosaures
Quand ils prieront le Soleil, je resterai à bénir l’Automne
Je sais que j’suis pas comme eux mais leur connerie humaine me colle au corps
Ce que les femmes subissent, ce que leurs souffrances apportent aux porcs
Je rêve de liberté quand j’vois les fardeaux que mes potos portent
Nan j’ai pas peur de vivre, nan j’ai pas peur d’aimer
Nan j’ai pas peur de dire que nôtre époque nous a baisé
Nan mes valeurs me guident, nan j’ai pas peur de ces
Gens qui m’conseillent de fuir quand toutes les portes seront scellées
Nan j’ai pas peur des nuits blanches des vapeurs d’excès
Nan j’ai pas peur de dire que mon âme s’est fait annexer
Nan j’ai pas peur d’être libre, nan j’ai pas peur de perdre
Nan j’ai pas peur de miser toute ma vie sur un essai
[Refrain]
Seul dans mon appart défoncé
J’plane m’embarque sans même y penser
Quitte mon corps en évitant
J’vois mon crâne comme pénitencier
À cheval entre calme et danger
J’vis comme ça j’vais jamais changer
Vie en vrac j’l’ai jamais rangé
J’vois leur monde comme un étranger
( Lours (JNGL) )
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