[Paroles de "La gorgée du pourfendu"]
Un chien lunaire, un bleu bien noir
Logos tronqué, tu donnes à boire
Aux rois méfiants du clair-obscur
Et à la tête qui flotte au loin
On voit la griffe d'un nouveau genre
Sur murs salis par monstres errants
Seulement les dieux n'ont pas de yeux
C'est toi qui les a arrachés
Lames d'ergot vont te pourfendre
Et tu verras par l'œil géant
La fontaine verte qui t'abreuvait
D'une eau bruyante qui donne la joie
Et moi je reste jusqu’à la fin
Car j'étais là et je voyais
Mais maintenant je dois m'arrêter
Les vieilles bêtes ne peuvent parler!
(Changement de clef...)
Un barde faux me lance un chant
Je dirais même un sort bruyant
Il tourne en rond dans une vieille tour
Que cavalier lui a légué
Une longue tresse me regarde
Sourire en coin, un air distant
Et maintenant que soleil se couche
J'aperçois le vieux guérisseur
Le chevaucheur est certes sombre
Mais son ombre blanche lacère la vue
Après l'épisode de la tour
Il est parti où on ne le voit
Je le vois toujours en premier
Le guérisseur vient juste après
Mais il seront joyeux à la fin
La tresse pour moi c'est une énigme
(Changement de clef...)
Un prince noyé se presse le pas
Son valet bouscule pour son bien
Sa marche noble et souterraine
Et les rideaux deviennent furieux
Pourtant c'est moi qui est mort
Mais ils tirent sur ma tête
Pendant ce temps sur les balcons
Les spectres blancs se mettent en rang
Je me réveille dans meurtrière
Persuadé du camouflage
Pourtant j'aperçois sa longue vue
Vieille reine qui empoisonne la mort
L'autre côté des rideaux
Une cérémonie se déroule
Le vieux tapis est tout trempé
Et l'air liquide se boit en coupe
Un chien lunaire, un bleu bien noir
Logos tronqué, tu donnes à boire
Aux rois méfiants du clair-obscur
Et à la tête qui flotte au loin
On voit la griffe d'un nouveau genre
Sur murs salis par monstres errants
Seulement les dieux n'ont pas de yeux
C'est toi qui les a arrachés
Lames d'ergot vont te pourfendre
Et tu verras par l'œil géant
La fontaine verte qui t'abreuvait
D'une eau bruyante qui donne la joie
Et moi je reste jusqu’à la fin
Car j'étais là et je voyais
Mais maintenant je dois m'arrêter
Les vieilles bêtes ne peuvent parler!
(Changement de clef...)
Un barde faux me lance un chant
Je dirais même un sort bruyant
Il tourne en rond dans une vieille tour
Que cavalier lui a légué
Une longue tresse me regarde
Sourire en coin, un air distant
Et maintenant que soleil se couche
J'aperçois le vieux guérisseur
Le chevaucheur est certes sombre
Mais son ombre blanche lacère la vue
Après l'épisode de la tour
Il est parti où on ne le voit
Je le vois toujours en premier
Le guérisseur vient juste après
Mais il seront joyeux à la fin
La tresse pour moi c'est une énigme
(Changement de clef...)
Un prince noyé se presse le pas
Son valet bouscule pour son bien
Sa marche noble et souterraine
Et les rideaux deviennent furieux
Pourtant c'est moi qui est mort
Mais ils tirent sur ma tête
Pendant ce temps sur les balcons
Les spectres blancs se mettent en rang
Je me réveille dans meurtrière
Persuadé du camouflage
Pourtant j'aperçois sa longue vue
Vieille reine qui empoisonne la mort
L'autre côté des rideaux
Une cérémonie se déroule
Le vieux tapis est tout trempé
Et l'air liquide se boit en coupe
( Noble Dchet )
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