[Tonton Pastis]
Dans un temps si obscur que les néons et autres parures ne suffisaient à nous réchauffer
Ainsi que nos coeurs, ni à nous éclairer
Alors que toutes les fêtes semblaient moroses
Qu'Ibiza sombrait dans l'oubli
Que la joie semblait quitter toute chose
Et que le clubbing s'effaçait des esprits
C'est là qu'elle vint, sauveuse suprême
Liqueur divine, boisson souveraine
Elle naquit de l'anis еt s'est épanouie
A travers nos sourirеs, nos moments entre amis
Dès lors nos voitures pouvaient rugir
Car nous étions entrés dans un âge d'or
La musique nous déchainait sans effort
Les flammes de nos moteurs s'agrandirent
La boisson des dieux calma notre rage
La mer méditerranée était à son image
Celle d'une apparente tranquillité
Et des passions maintes fois déchainées
Dans un temps si obscur que les néons et autres parures ne suffisaient à nous réchauffer
Ainsi que nos coeurs, ni à nous éclairer
Alors que toutes les fêtes semblaient moroses
Qu'Ibiza sombrait dans l'oubli
Que la joie semblait quitter toute chose
Et que le clubbing s'effaçait des esprits
C'est là qu'elle vint, sauveuse suprême
Liqueur divine, boisson souveraine
Elle naquit de l'anis еt s'est épanouie
A travers nos sourirеs, nos moments entre amis
Dès lors nos voitures pouvaient rugir
Car nous étions entrés dans un âge d'or
La musique nous déchainait sans effort
Les flammes de nos moteurs s'agrandirent
La boisson des dieux calma notre rage
La mer méditerranée était à son image
Celle d'une apparente tranquillité
Et des passions maintes fois déchainées
( Le Son vert )
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