Si rien ne change et tout reste pareil
Qu'au début pas de chance
Dans une capsule un jeu pour garçon un corps masculin sans espoir de transition
Rien à en dire car tout reste à penser
Dans les regards fuyants l'envie d'y couper
De vivre éthéré loin de tout là où, personne n'est jamais allé
Des images de corps des fantasmes de vie
De lointains accords sous les verrеs étourdi
Des courages impossibles à avoir, l'imprеssion d'exister à demi
La façon dont tes épaules rencontrent ton cou fin
Mon destin écrit depuis le couffin
Si rien ne change tout est comme la veille
Sur le sol les cadavres baignés par le soleil
Dans le reflet du reflet du reflet d'un miroir
Rien que des questions, des questions à tiroirs
Des lettres d'amour avec des fautes
D'accord
Les regards sur mon dos
Dehors
Et quand mes sentiments s'emmêlent
Comme les écouteurs dans la poche de sa veste
Le reflet irréel de moi en elle, l'impression de justesse reste
Et le monde explose en milliers de pièces
Et au fond les choses ne sont pas moins confuses
Mais l'espace d 'un instant tout doute cesse
Il n'y a plus d’intruse
Si rien ne change et tout reste pareil
Qu'au début pas de chance
Une identité chargée à blanc
Une longue journée à faire semblant
Que rien n'est si important
Et que le temps efface, toujours finalement
Les errements de jeunesse
Au final rien ne presse
Si rien ne change et tout reste pareil
Les miroirs de vénus accrochés aux oreilles
Retrouver le sommeil
Qu'au début pas de chance
Dans une capsule un jeu pour garçon un corps masculin sans espoir de transition
Rien à en dire car tout reste à penser
Dans les regards fuyants l'envie d'y couper
De vivre éthéré loin de tout là où, personne n'est jamais allé
Des images de corps des fantasmes de vie
De lointains accords sous les verrеs étourdi
Des courages impossibles à avoir, l'imprеssion d'exister à demi
La façon dont tes épaules rencontrent ton cou fin
Mon destin écrit depuis le couffin
Si rien ne change tout est comme la veille
Sur le sol les cadavres baignés par le soleil
Dans le reflet du reflet du reflet d'un miroir
Rien que des questions, des questions à tiroirs
Des lettres d'amour avec des fautes
D'accord
Les regards sur mon dos
Dehors
Et quand mes sentiments s'emmêlent
Comme les écouteurs dans la poche de sa veste
Le reflet irréel de moi en elle, l'impression de justesse reste
Et le monde explose en milliers de pièces
Et au fond les choses ne sont pas moins confuses
Mais l'espace d 'un instant tout doute cesse
Il n'y a plus d’intruse
Si rien ne change et tout reste pareil
Qu'au début pas de chance
Une identité chargée à blanc
Une longue journée à faire semblant
Que rien n'est si important
Et que le temps efface, toujours finalement
Les errements de jeunesse
Au final rien ne presse
Si rien ne change et tout reste pareil
Les miroirs de vénus accrochés aux oreilles
Retrouver le sommeil
( Grand Nuage )
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