Ce mélange de liqueurs
M'a donné les 2 ailes d'Icare
Tu fais brûler mon cœur
Toi, Soleil, vers lequel je m'égare
J'ai peur de m'éteindre, rallume un cigare
La lune regarde mes poumons déteindre
Du rose au gris, des odes aux cris
Les roseaux plient face aux débris
De mon âme, plus rien brille dans le noir
Ma vie ne tient qu'au fil des Moires
Envie d'ôter cette fille d'ma Mémoire
Effacer ses selfie et de boire
1 verre, 2 verres, 3 verres, j'écris
1 vers, 2 vers, 3 vers, aigri
Avec l'hiver comme seule saison
Et l'univers comme seule maison
Un jour faudra redescendre
Comme les flocons de décembre
Là où retombent mes cendres
Où les fleurs forment des ambres
Noircies par fumées épaisses
Fusées dans la caisse
Merci de refermer mes plaies
Usé plus la peine de m'appeler
Une étincelle et je m'envole
Là haut dans le ciel, loin du sol
La drogue dans le celo m'envoie
Là où sont scellées les voix
Qui me rappellent ton absence
Je m'en fume au moins 400
Briquet vidé d'essence
Les veines vidées de sang
Que du rouge dans mon verre
Et toutes mes veines sont remplies de vin
Les yeux rougis par le vert
Qui teinte mes feuilles, je m'en fume 2 fins
Que du rouge dans mon verre
Et toutes mes veines sont remplies de vin
Les yeux rougis par les vers
Qui teintent mes feuilles, j'en oublie la faim
Radeau de la méduse
Où s'échouent tous mes rêves d'ado
Sur les joues de ma muse
S'écoulent les larmes versées dans mes flows
Plus aucun Soleil, des pluies diluviennes
Un peu moins d'sommeil mais les pilules viennent
Combler ce trou béant dans le ciel
Panser mes plaies baignant dans le sel
Flamme dans la bouche, crache l'incendie
Nouvelle braise crépite dans ma tête
Ce soir la brise s'effrite en tempête
Et brise les souches, seul ressenti :
Le vide en moi, l'évidence même
Que dans deux mois, les chrysanthèmes
Borderont ce doux lit mortuaire
En attendant roule un gros teh
Un jour faudra redescendre
Comme les flocons de décembre
Là où retombent mes cendres
Où les fleurs forment des ambres
Noircies par les fumées épaisses
Fusées dans la caisse
Merci de refermer mes plaies
Usé plus la peine de m'appeler
Une étincelle et je m'envole
Là haut dans le ciel, loin du sol
La drogue dans le celo m'envoie
Là où sont scellées les voix
Qui me rappellent ton absence
Je m'en fume au moins 400
Briquet vidé d'essence
Les veines vidées de sang
Une étincelle et je m'envole
Là haut dans le ciel, loin du sol
La drogue dans le celo m'envoie
Là où sont scellées les voix
Qui me rappellent ton absence
Je m'en fume au moins 400
Briquet vidé d'essence
Les veines vidées de sang
M'a donné les 2 ailes d'Icare
Tu fais brûler mon cœur
Toi, Soleil, vers lequel je m'égare
J'ai peur de m'éteindre, rallume un cigare
La lune regarde mes poumons déteindre
Du rose au gris, des odes aux cris
Les roseaux plient face aux débris
De mon âme, plus rien brille dans le noir
Ma vie ne tient qu'au fil des Moires
Envie d'ôter cette fille d'ma Mémoire
Effacer ses selfie et de boire
1 verre, 2 verres, 3 verres, j'écris
1 vers, 2 vers, 3 vers, aigri
Avec l'hiver comme seule saison
Et l'univers comme seule maison
Un jour faudra redescendre
Comme les flocons de décembre
Là où retombent mes cendres
Où les fleurs forment des ambres
Noircies par fumées épaisses
Fusées dans la caisse
Merci de refermer mes plaies
Usé plus la peine de m'appeler
Une étincelle et je m'envole
Là haut dans le ciel, loin du sol
La drogue dans le celo m'envoie
Là où sont scellées les voix
Qui me rappellent ton absence
Je m'en fume au moins 400
Briquet vidé d'essence
Les veines vidées de sang
Que du rouge dans mon verre
Et toutes mes veines sont remplies de vin
Les yeux rougis par le vert
Qui teinte mes feuilles, je m'en fume 2 fins
Que du rouge dans mon verre
Et toutes mes veines sont remplies de vin
Les yeux rougis par les vers
Qui teintent mes feuilles, j'en oublie la faim
Radeau de la méduse
Où s'échouent tous mes rêves d'ado
Sur les joues de ma muse
S'écoulent les larmes versées dans mes flows
Plus aucun Soleil, des pluies diluviennes
Un peu moins d'sommeil mais les pilules viennent
Combler ce trou béant dans le ciel
Panser mes plaies baignant dans le sel
Flamme dans la bouche, crache l'incendie
Nouvelle braise crépite dans ma tête
Ce soir la brise s'effrite en tempête
Et brise les souches, seul ressenti :
Le vide en moi, l'évidence même
Que dans deux mois, les chrysanthèmes
Borderont ce doux lit mortuaire
En attendant roule un gros teh
Un jour faudra redescendre
Comme les flocons de décembre
Là où retombent mes cendres
Où les fleurs forment des ambres
Noircies par les fumées épaisses
Fusées dans la caisse
Merci de refermer mes plaies
Usé plus la peine de m'appeler
Une étincelle et je m'envole
Là haut dans le ciel, loin du sol
La drogue dans le celo m'envoie
Là où sont scellées les voix
Qui me rappellent ton absence
Je m'en fume au moins 400
Briquet vidé d'essence
Les veines vidées de sang
Une étincelle et je m'envole
Là haut dans le ciel, loin du sol
La drogue dans le celo m'envoie
Là où sont scellées les voix
Qui me rappellent ton absence
Je m'en fume au moins 400
Briquet vidé d'essence
Les veines vidées de sang
( Schizo Boy )
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